Boiedieu y est tout à fait heureux. Avec malice il parle du présent, il rit de l’avenir qui s’annonce joyeux : « Je suis ici le plus heureux des coquins que la terre ait portés. Je deviens comme un tonneau, je me porte comme un moine, — sa santé paraissait en effet s’être améliorée, — et j ’ai l ’assurance d’être un jour bien rond et toujours gai dans ma bonne ferme, environné de bons amis, avec qui nous irons faire enrager les petites paysannes du lieu... »
Joies éphémères. Son bonheur sera hélas de courte durée.