captivant de la première à la dernière page
Si les catholiques ont un missel, les protestants ont tous une Bible en main. Maggie les observe. (...) Au milieu de la cérémonie, le sermon du pasteur lui échappe complètement. À son grand étonnement, tous les fidèles, y compris son père, rient à gorge déployée à deux reprises. Drôle de religion !
Exior éclate, ses pleurs heurtent Bénoni comme une volée de grêlons.
Le vrai coupable, c'est le curé qui la sacrifie à son obsession des protestants et à son désir de se défaire d'un maire qui empiète sur son autorité.