Lu dans le cadre du challenge Nobel 2013/2014.
Lecture 14/15
Les Grands-Mères tient plus d'une nouvelle que d'un roman. Je suis assez étonnée de la légèreté de ce chassé-croisé amoureux, de la fluidité et de la concision de l'auteure comparée à la confusion et au tourment qui envahit ses personnages dans
le Carnet d'Or (dense et éprouvant) et
Vaincue par la Brousse.
Je n'en ai pas pris moins de plaisir, bien que la fin soit attendue et les personnages trop esthétiques, presque caricaturaux. C'est d'ailleurs ce qui fait de ce livre davantage une peinture ironique et pittoresque qu'un roman avec tout ce qu'on peut en attendre.
En somme, c'est un roman d‘été nobélisé. C'est bien le seul que je connaisse qui regroupe ces deux attributs si rarement associés !
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