Citations sur Se souvenir du futur : Guider son avenir par les sync.. (22)
En fait, Romualdo, c’est très simple ! Pour t’entraîner à modifier tes rêves à partir du futur, je te propose de sélectionner les dernières images oniriques de tes rêves et de bien les mémoriser. Tu dois ensuite, garder dans ta mémoire ces images, mais sans trop y penser ; tu ne dois pas les rechercher dans la réalité, car cela empêcherait la manifestation de celles-ci dans le réel. C’est souvent quand tu les as presque oubliées qu’elles se manifestent dans la réalité.
Ce qui se passe, vu de la manière la plus simple (car nous verrons que ce n’est pas aussi simple), c’est que toute la trajectoire est déjà créée et que nous avons l’illusion qu’elle se crée dans le temps parce que notre conscience est, elle-même, séquentielle. […] Ton ondulien est alors la métaphore d’une trajectoire qui ondule, c’est-à-dire qui change au cours d’un temps qui n’est pas celui de la mécanique mais celui de la création, qui pour la conscience est intemporel. […] En résumé, les cordes et les boucles libèrent la matière du déterminisme dans lequel elle se retrouvait enfermée, ce qui rendait impossible l’ondulation même de tous nos serpents d’évolution.
La faisabilité d’une boucle de rétroaction temporelle mettant en jeu des relations à double sens entre présent et futur repose sur cinq prémisses de la théorie de la double causalité que l’on peut résumer ainsi : (1) notre futur est déjà réalisé, (2) il peut changer, (3) l’intention excite un nouveau futur, (4) celui-ci influence le présent, (5) l’attention le fait rentrer dans la réalité.
[Préface Guillemant]
Le déterminisme consiste à dire que nous avons un futur unique, car il est mécaniquement déterminé, et la causalité consiste à dire que ce futur dépend exclusivement du passé. Il devient impossible d’admettre l’existence de l’âme ou d’un concept proche, car ces deux postulats verrouillent la façon dont l’univers fonctionne et évolue.
Il me disait qu’il était possible de modeler un rêve pour qu’il corresponde à une information ou à un événement qui se réalise ensuite dans le futur, et cela à partir du futur en comparant la situation au souvenir du rêve !
Je percevais cette créature aux échelles microcosmiques et macrocosmiques, je pouvais voir dans l’infiniment petit cet être générer les constituants ultimes de la matière. Par ces ondulations rythmiques, je voyais des vibrations créer en alternance des symétries, des dispositifs harmoniques, des entités duelles, binaires. A une autre échelle microscopique, je voyais cette entité conférer ses propriétés à l’ADN, donner le mouvement aux protéines, le rythme aux chromosomes, induire la division cellulaire, etc.
En remontant dans ma chambre pour aller chercher mon dictaphone, j’ai la surprise de tomber, au milieu du couloir, sur un splendide scarabée doré, dans les tons jaunes, tels que je n’en ai jamais vu, car ceux de ma région sont plutôt dans les tons verts. Celui-là se rapproche donc encore plus du scarabée de Jung et m’offre une belle synchronicité […].
[Intro Jocelin Morisson]
Il faut sortir de la boîte du mental, aveuglé par une croyance qui donne l’impression que cette proposition [se souvenir du futur] est fausse, pour comprendre, à la lumière d’une réalité plus juste, qu’il s’agit au contraire d’une profonde vérité.
[Préface Guillemant]
Il faut introduire ici la notion de « densité d’information ». Plus cette densité associée à un événement est élevée, et moins ce dernier est susceptible de changer. Les événements passés sont associés à une plus grande densité d’information qu’ils se sont déjà produits, mais la densité dépend du nombre de conscience impactées par l’événement.
Après vingt jours de diète, je me retrouvai un matin dans un état très agité. Impossible de trouver le repos ! L’agitation cessa lorsque, de façon synchronistique, mon regard se fixa sur un paresseux juste devant moi. Mon quotidien était devenu une vaste synchronicité, la diète avait réveillé en moi un instinct qui reliait mes intentions à tout un ensemble de signes qui se manifestaient dans la réalité.