J'aime bien comment tu as positionné tes arums, mais ton ikebana manque de respiration. L'air ne circule pas et tu n'as pas enlevé les feuilles abîmées. Recommence
L'opération "boîte interdite" était lancée ! Mon pyjama avec son imprimé "chatons" n'était peut-être pas la tenue de camouflage idéale, mais mon exceptionnel don de marche silencieuse ferait la différence... ou pas... saleté de plancher qui grince !
P. 47
On s'imagine qu'on peut traverser la vie comme des fakirs, sans se blesser, en marchant sur des clous, mais on termine avec les pieds transpercés par les problèmes, le ventre ouvert et toutes nos émotions offertes aux railleries de ceux qui nous ont blessés.
Enveloppée dans les bras de Matt, sous la bénédiction de la lune et des étoiles, j'ai fermé les yeux et j'ai imaginé mon avenir. Je ne rêvais pas de choses compliquées , juste de rester dans cet équilibre fragile de bonheur, cette douceur,cette plénitude,quand tout semble en harmonie . Si ma vie était un ikebana,chaque invité aurait trouvé sa place et le vent n'aurait plus qu'à souffler pour les faire vibrer tous ensemble.
Est-ce que Chloé était moche ? Je n'en savais rien...
C'était ma copine, ma pote, ma best friend forever ! On se connaissait de puis peu mais on était déjà inséparable. Au collège, les attaques de cette peste de Princesse B et de ses duchesses nous avez soudées. Ce sont des choses que l'ont n’explique pas.
Ce livre est super il parle d'une fille est de c'est amis et sa famille j'espère que vous l'aimerez. :)
Maëva
Lucie T. :
Je n'ai pas tout lu car j'ai lu le début mais je ne m'attendais pas à une jeune fille qui allait faire l'activité d'origine de son pays et il y avait un autre livre qui me plaisait sur le présentoir.
Samouraï est un mode de vie [...] Ma lumière s'éteint, Samouraï je suis, Samouraï je resterai à jamais.
Samouraï est un mode de vie,
Bushido en est l'essence,
Le katana la puissance.
Ma lumière s'éteint,
Mais samouraï je suis,
Samouraï je resterai à jamais.
"Un matin nous partons le coeur plein de flammes ,Le coeur gros de rancune et de désir amers,Et nous allons suivant le rythme de la lame , Berçant notre infini sur le fini de la lame ." Page 129
(citation choisie par Lisa Marguerite)