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Critique de Fantine
Un polar ésotérique autour de la figure mystérieuse de Fulcanelli, un alchimiste ayant vécu au siècle dernier.
Par l'intérmédiaire de son héros récurrent, Henri Loevenbruck tente de percer l'énigme pesant autour de l'identité du plus secret des alchimistes.
Un style enlevé ainsi qu'une érudition à toute épreuve donne un polar haletant, passionnant, qu'il est plus que difficile à lâcher, et, dans lequel l'humour, et, l'amour sont au rendez vous.
Mine de rien, on apprend pas mal de chose sur Fulcanelli, sur sa personnalité, et cela, d'une manière fort agréable alors que l'ésotérisme, l'alchimie en général est un domaine quelque peu opaque ainsi que pas facile à appréhender.
A lire.
Par l'intérmédiaire de son héros récurrent, Henri Loevenbruck tente de percer l'énigme pesant autour de l'identité du plus secret des alchimistes.
Un style enlevé ainsi qu'une érudition à toute épreuve donne un polar haletant, passionnant, qu'il est plus que difficile à lâcher, et, dans lequel l'humour, et, l'amour sont au rendez vous.
Mine de rien, on apprend pas mal de chose sur Fulcanelli, sur sa personnalité, et cela, d'une manière fort agréable alors que l'ésotérisme, l'alchimie en général est un domaine quelque peu opaque ainsi que pas facile à appréhender.
A lire.
