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Critique de Tbilissi
C'est la dimension historique qui m'avait enthousiasmée dans le premier tome de cette saga, le loup des cordeliers.
Ici, on la retrouve en début d'histoire, avec le supplice de Joseph Foulon décrit méticuleusement, avec une réalité brute presque insoutenable.
Puis la grande histoire se carapate pour faire place à la petite, celle de Lorette, celle de Gabriel. Les personnages avec lesquels j'ai vibré dans le premier tome, et pourtant... là j'avoue que j'ai trouvé le temps long. L'identité du fameux loup des cordeliers révélée, l'intrigue a basculé dans le banal, pire, dans le cliché.
Là où le premier tome avait habilement mêlé les personnages fictifs aux personnalités de la révolution, ici tout tombe à plat. Les dialogues sonnent faux, les tentatives d'émotion tournent au ridicule, l'intérêt historique s'amenuise, malgré les très belles illustrations qui jalonnent l'ouvrage.
J'ai beau aimer le talent d'écrivain d'Henri Loevenbruck, ce roman s'avère pour moi une déception.
Ici, on la retrouve en début d'histoire, avec le supplice de Joseph Foulon décrit méticuleusement, avec une réalité brute presque insoutenable.
Puis la grande histoire se carapate pour faire place à la petite, celle de Lorette, celle de Gabriel. Les personnages avec lesquels j'ai vibré dans le premier tome, et pourtant... là j'avoue que j'ai trouvé le temps long. L'identité du fameux loup des cordeliers révélée, l'intrigue a basculé dans le banal, pire, dans le cliché.
Là où le premier tome avait habilement mêlé les personnages fictifs aux personnalités de la révolution, ici tout tombe à plat. Les dialogues sonnent faux, les tentatives d'émotion tournent au ridicule, l'intérêt historique s'amenuise, malgré les très belles illustrations qui jalonnent l'ouvrage.
J'ai beau aimer le talent d'écrivain d'Henri Loevenbruck, ce roman s'avère pour moi une déception.
