[...] il est possible de bâtir une nouvelle vie sur n'importe quel coup dur.
Selon lui, cet avion avait l'air plus homo qu'un bus rempli de folles.
Il est déçu mais c’est déjà arrivé, et ce jeu commençait à l’ennuyer de toute façon. À les ennuyer tous. C’est sans importance. Ça se termine toujours de la même façon.
Les gens croient ce qu’ils ont envie de croire.
Ça arrive à tout le monde. C’est la peur qui arrête les gens. La peur de l’inconnu. De ce qu’on risque de trouver dans l’autre monde. Mais il n’y a pas de raison d’avoir peur. Ça continue encore et encore.
Et je ne suis pas fana des nouvelles chaînes de motels, je préfère les entreprises familiales. On n’a peut-être pas de plats mexicains ni le câble, mais la compagnie et le café sont toujours meilleurs et les tarifs compétitifs.
C’est bon de se dire qu’on n’est pas tout seul.
Il faut être prêt à tout, Lorne. L’œuvre de Dieu n’est pas faite que de prières.
Dieu donne à chacun le droit de se défendre. J’ai appris à tirer à mes filles, tout comme on les a encouragées, Reba et moi, à se préparer aux éruptions solaires qu’on nous prédit. Mais, là, ça m’avait l’air d’un tout autre rodéo – comme s’ils se préparaient à soutenir un siège
Je ne suis pas folle. Je ne suis pas dingue. Je ne suis pas cinglée. Faire semblant m’a épuisée, c’est tout. On ne peut pas jouer un rôle toute sa vie, hein ?
Tout le monde dit que Len a « laissé le diable entrer en lui », mais ce n’est pas si simple. Le fait est que c’est la déception qui l’a mené à la folie. Ça arrive quand on a le cœur brisé.