Où nous découvrons que la décharge de chevrotines dans le dos de Laviolette qui clôturait le roman précédent, au lieu de l'envoyer ad patres, l'a rajeuni de dix ans. Dans ce dernier roman de
Pierre Magnan l'intrigue policière est quasiment absente. La belle écriture, elle, est toujours présente pour nous parler de la mort. C'est le thème philosophique de ce roman.
Giono est un peu délaissé pour
Proust. Un roman apaisant pour nous dire au-revoir. Jusqu'à la fin, l'amour et la mort se disputent la vedette. Devinez qui va gagner ?
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