Honni soit qui mal y pense.
je voudrai vous dire que je ressentis le feu, l'enfer et la douleure.Ce serait la seule punition justepour toutes les vies que j'avais prises sans vergogne au cours de mon existence
mais ce n'est pas ce qui arriva.
tout ce que je ressentis, c'est un eblouissement d'or et de diaments de lumiere.
Je veux sentir le soleil sur ma peau
et savoir ce que c'est qu'être amoureuse
il me sembla entendre quelque chose avant de sortir dans l'aube .Je crois que c'étaient les genoux de Justin heurtant le sol. J'écartai le rideau et un éclair de lumière matinale me frappa en pleine face. Je levai les mains sur les côtés .
Je voudrais vous dire que je ressentis le feu, et l'enfer et la douleur. Ce serait la seule punition juste pour toutes les vies que j'avais prises sans vergogne au cours de mon existence .
Mais ce n'est pas ce qui arriva.
tout se que je ressentis, c'est un éblouissement d'or et de diamants de lumière.
FIN.
"- Pourquoi n'as-tu pas peur de mourir ?
- Parce que j'ai enfin vécu."
la peine de la malédiction, tout remontait du fond de mon ame. en lieu et place de larmeq, les feux de l'enfer flamdaient dans mon corp. le soulagement des pleurs ne coulerait jamais plus sur mon visage.
- Lenah ? chuchota Justin.
Il me caressait les cheveux. La tête posée sur sa poitrine, j'écoutais son cœur battant revenir à une vitesse normale. Dehors, le ciel s'emplissait d'étoiles.
- Oui ?
Je somnolais sous ma couette chaude et moelleuse.
- Tu veux venir au bal d'hiver avec moi ?
- Bien sûr.
J'était sur le point de m'endormir.
- Justin ?
- M-mm ? fit-il, à peine plus éveillé.
- C'est quoi, la bal d'hiver ?
Il éclata de rire, si fort que me joue rebondit sur son torse.
J’allais me plonger dans le mode d’emploi d’un ordinateur portable lorsqu’un coup frappé à la porte m’arracha à ma méditation. Un pull noir, tout simple, qui avait appartenu à Rhode, pendait à un bras du fauteuil.
Je le passai par-dessus mon débardeur avant de m’enfoncer dans les profondeurs de l’appartement.
— Révèle-toi ! ordonnai-je à la porte fermée.
— Euh… me répondit timidement une voix masculine.
— Ah, pardon, je voulais dire : qui est-ce ?
Doucement, Lenah. Après tout, je ne présidais plus un cercle de vampires.
— Une livraison de voiture pour Lenah Beaudonte. J’ouvris d’un coup.
— Une voiture ?!
Rhode se leva. Il faisait toujours les cent pas quand il avait quelque chose de difficile à me dire. Un jour, au XVIe siècle, je lui avais demandé pourquoi. "Pour ne pas avoir à te regarder dans les yeux", m'avait-il répondu.
"- Qui êtes-vous ?
- Personne en particulier."