Moins prenant que "
Kaputt", "
la Peau" n'en reste pas moins intéressant pour suivre la fin de la guerre en Italie sous le regard de
Malaparte. Qu'on adhère ou pas, sa connaissance des tenants et aboutissants de ce conflit et de tous les hommes et femmes qui font cette guerre du haut au bas de l'echelle sociale et de toutes les parties concernées (Allemands, Fascistes, partisans, Américains et Alliés), rend la lecture agréable. Les anecdotes rendent le conflit plus réel et proche de nous et on reste parfois sans voix devant la cruauté des hommes.L'eau cependant continue de couler sous les ponts.
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