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Critique de bdelhausse
Suite du diptyque de Patrick Mallet sur l'horreur de la guerre.
Baptiste Beaulieu, inconsolable depuis la mort de son fils, découvre un monde souterrain peuplé d'êtres faë. Ayant sauvé la princesse faë blessée par balle, il discute "philo écolo" et folie humaine avec le roi faë.
Il finit par ressortir dans un champs de bataille dévasté qui ne ressemble en rien au bois de la Gruerie où il avait trouvé l'entrée du monde féerique... et il n'est pas au bout de ses surprises. le lecteur comprendra vite pourquoi le second tome s'intitule 1918. Ce fut un bien long hiver.
je ne dévoile pas la fin, poignante et très "belle" (elle ne pourrait être différente) qui sauve un peu le tome. Je m'y suis ennuyé, j'y ai trouvé des longueurs incroyables, une répétition des mêmes idées sur la guerre et sur la terre nourricière... alors que le lecteur un peu adulte avait compris depuis longtemps.
Je ne pense pas qu'il y avait matière à deux tomes de cette longueur. Raccourcir la partie féerique aurait (en ce qui me concerne) sauvé l'ensemble.
Baptiste Beaulieu, inconsolable depuis la mort de son fils, découvre un monde souterrain peuplé d'êtres faë. Ayant sauvé la princesse faë blessée par balle, il discute "philo écolo" et folie humaine avec le roi faë.
Il finit par ressortir dans un champs de bataille dévasté qui ne ressemble en rien au bois de la Gruerie où il avait trouvé l'entrée du monde féerique... et il n'est pas au bout de ses surprises. le lecteur comprendra vite pourquoi le second tome s'intitule 1918. Ce fut un bien long hiver.
je ne dévoile pas la fin, poignante et très "belle" (elle ne pourrait être différente) qui sauve un peu le tome. Je m'y suis ennuyé, j'y ai trouvé des longueurs incroyables, une répétition des mêmes idées sur la guerre et sur la terre nourricière... alors que le lecteur un peu adulte avait compris depuis longtemps.
Je ne pense pas qu'il y avait matière à deux tomes de cette longueur. Raccourcir la partie féerique aurait (en ce qui me concerne) sauvé l'ensemble.
