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3.59/5 (sur 201 notes)

Nationalité : Suisse
Né(e) : 1970
Biographie :

Patrick MALLET est né à Genève en Suisse en 1970 et travaille à Paris depuis 1996 en tant que scénariste et dessinateur de bandes dessinées. Il est également illustrateur, ainsi que graphiste-maquettiste.

Il réalise ses premières bandes dessinées au début des années 2000 dans la revue « Atrabile », tout en commençant un travail d’illustrateur pour la jeunesse et de maquettiste pour le jeu de rôle. C’est en 2002 qu’il scénarise et dessine sa première bande dessinée : « J'ai pas sommeil ! » parue à la Joie de Lire.

Fasciné par la littérature, il décide dès 2004 d’adapter des textes en bandes dessinées : il commence par une partie des Mémoires de Casanova (« Casanova sous les Plombs de Venise », Glénat), puis suivent « Vathek » de William Beckford et « Smarra » d’après Charles Nodier (Glénat). Il écrit ensuite ses propres histoires, avec « Achab » (Glénat), une série dans laquelle il imagine la vie du héros de Moby Dick avant le roman d’Herman Melville.

Puis il publie « Le long hiver » (Casterman), une histoire où se mêlent fantastique féérique et Guerre de 14. Il écrit également des histoires pour d’autres dessinateurs (« Cornélius Shiel », avec Patrizio Evangelisti, chez Delcourt, et « Les Sansons contre l’Amateur de souffrances » avec Boris Beuzelin chez Vent d’Ouest). Il est aussi le dessinateur de la série « Fouché » sur un scénario de Nicolas Juncker (parue aux Arènes).
Il reçoit prix Töpffer en 2008.
En parallèle, il réalise plusieurs couvertures de livres pour différents éditeurs de littérature de l’imaginaire (La Clé d’Argent, Malpertuis), et collabore à un livre hommage sur Jack Kirby (« Kirby & Me ») ainsi qu’au « Panorama du fantastique » (paru aux Moutons électriques). Dernièrement, il édite des livres aux éditions Mnémos (« Chevauche Brume » de Thibaud Latil-Nicolas) et révise également pour eux des traductions.

En 2017, il a co-écrit avec Thierry Tripod une web-série produite par France Télévisions et Brainworks : « Les Uchroniques ».

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Le Comte de Monte Cristo 1


Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Je suis la preuve vivante qu'il ne suffit pas d'élever un enfant d'une autre race pour qu'il s'intègre !...
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Et depuis la mort de Lord Carnarvon, il y a cette ridicule histoire de malédiction imaginée par ce Weigall du Daily Mail et d’autres journalistes ligués contre moi.
Même si Lord Carnarvon est mort d’une piqûre de moustique qui s’est infectée, les gens son persuadés que Toutânkhamon nous punira tous pour avoir profané sa tombe !
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Malgré que le style du moine m’ait piqué, la hardiesse de ce projet ne m’a pas déplu. J’avais des preuves de la bêtise de Laurent, mais je trouvais trop naturel qu’il déployât la pelisse lui-même en entrant dans le galetas comme pour la leur faire mieux regarder, d’autant plus que leur cachot n’était pas bien clair : le verrou serait tombé sur le plancher. J’ai cependant écrit au moine que j’adoptais son projet et qu’il n’avait qu’à me faire demander la pelisse. Laurent le lendemain me pria d’excuser la curiosité de la personne qui me prêtait des livres qui délirait de voir ma pelisse. Je la lui ai donnée sur le champ très-bien pliée en lui disant de me la rapporter d’abord ; mais j’espère que le lecteur ne pensera pas que j’aie été assez bête pour y mettre dedans le verrou. Il me la rapporta deux minutes après en me remerciant. Je lui ai dans le même moment ordonné pour le jour de la saint Michel trois livres de macaroni dans une chaudière d’eau bouillante sur un grand réchaud. Je lui ai dit que je voulais en assaisonner moi-même deux plats, un, le plus grand qu’il eût dans sa maison, dont je voulais régaler les dignes personnes qui me donnaient des livres, l’autre, de moyenne grandeur, pour moi. Je lui ai dit que je voulais fondre le beurre moi-même et y mettre le fromage parmesan qu’il me porterait tout râpé. J’ai décidé de mettre le verrou dans le dossier de la Bible en y plaçant dessus le grand plat de macaroni dont le beurre abondant dans lequel ils devaient nager aurait engagé les yeux de Laurent tellement qu’il n’aurait pas osé les en détacher pour prendre garde aux extrémités du dossier du livre. Le plat devait être si plein qu’il devait craindre d’en verser sur le livre.
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Il était entièrement blanc, et d’une taille démesurée. C’était Moby Dick, celui que peu ont vu mais que tous connaissent !
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Tu ne trouves pas que ce cimetière est triste ? Regarde, il est rempli de femmes qui reposent seules. Loin de leurs époux, de leurs fils, de leurs frères... Tous nos hommes meurent en mer...
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Bourreau, en fin de compte , c'est un métier. Certes, il n'est pas comme les autres. Mais il s'apprend. Et j'ai appris. J'ai appris à flageller, j'ai appris à marquer au fer rouge. J'ai appris à mutiler les yeux, la bouche, la langue, les oreilles, les dents, les bras, les mains et les pieds, et même le cœur. J'ai appris à découper et à arracher tout ce qui peut se découper ou s'arracher sur un corps humain. J'ai appris à mettre au pilori ou en croix. J'ai appris à rouer jusqu'à ce que mort s'ensuive, à pendre, à décapiter. J'ai même appris comment brûler un condamné sur un bûcher. Par contre, je ne crois pas que l'on s'habitue jamais à tuer un homme, mon fils. C'est à chaque fois une expérience terrible et très traumatisante, comme tu t'en rendras compte bien assez tôt. Je suis juste devenu meilleur pour effectuer cette besogne. (p. 16-17)
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Nous sommes une race ancienne, Baptiste Beaufils. Presque aussi vieille que celle des hommes qui furent un moment nos frères.
Tome 2, page 26

Arthur M.
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L'étrangeté est le condiment nécessaire de toute beauté.
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- ... tu as dû t'y reprendre à plusieurs fois pour le décapiter ! C'est indigne de notre profession !
- Notre métier n'est pas de faire souffrir inutilement, mais d'appliquer la justice ! Imagines-tu seulement ce que ce pauvre homme a enduré ?
- Figurez-vous que j'en ai eu une idée précise, mère : j'étais aux premières loges ! (p. 10)
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Il y a eu une lumière aveuglante et un guerrier en armure sur un cheval blanc est apparu entre les deux camps (Tome 1, page 18)

Ila commencé à avoir une sale réputation parmi le régiment. On racontait qu'il portait la poisse, que les balles qui l'évitaient, les autres se les prenaient (Tome 1, page 27)
Arthur M.
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