Il a beaucoup plu dans ce roman de Mathieu
Malzieu.
Alors que la Seine a débordé emportant Paris dans un grand tourbillon avec un triangle des Bermudes entre le Louvre, l'Hôtel de Ville et Notre-Dame, le musicien Gaspard, empêtré dans un chagrin d'amour sans fin, sauve inopinément une (très belle) sirène.
Pas de coup de coeur pour moi (contrairement à son merveilleux «
Journal d'un vampire en pyjama »), même si j'ai reconnu (et apprécié) la plume poétique, et sagace du chanteur M.
Malzieu.
Ni le sauvetage de la péniche de sa grand-mère décédée sur laquelle officient son père et (entre autres) un zazou ( !), ni son style créatif n'auront permis que je m'accroche à cet opus.
Les « surprisiers » ne m'ont pas amusée, séduite, les musiciens (ou plutôt leurs noms à rallonge) n'ont pas fait titillé ma fibre artistique, moi qui aime pourtant l'imaginaire et son indicible douceur quand ils m'embarquent vers l'au-delà livresque.
Cette fois, je suis restée à quai.
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