J'ai découvert Mankell avec "
Les chaussures italiennes" que j'ai "enfilées" comme des espadrilles (chez moi point de chaussons ou pantoufles), l'impression d'être chez un ami. Pour "
le chinois", j'ai apprécié l'écriture mais, parallèlement à l'intrigue, j'ai eu l'impression de lire un dossier de "courrier international " et je ne l'avais pas choisi pour ça. Donc j'ai sauté beaucoup de pages. Je suis une habituée de
Tony Hillerman qui , dans ses enquêtes en territoire indien, nous immerge dans la culture Navajo et j'apprécie. Seulement voilà, Hillerman a pris toute une vie, 19 romans d'une imprégnation lente et subtile et ça fait toute la différence.
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