Mieux vaut imaginer le néant et le calme immense qui va régner lorsque mon cœur aura cessé de battre, plutôt que de songer à tout ce passé qui s'est enfui mais qui garde néanmoins le pouvoir de me torturer.
Te souviens-tu qu'un jour je t'ai dit que je souffrais davantage de ton absence que je ne jouissais de ta présence?