Thomas Mann nous entraîne dans les tourments de son double, Toni Kröger, un bobo d'il y a un siècle. L'écriture est fine mais si j'ai choisi ce livre c'est parce que c'est une référence de
Jean-Pierre Ceton dans ses entretiens avec
Marguerite Duras et puis aussi parce qu'il sait décrire la mer comme personne et que je reviens de Venise (j'aurai pu choisir "Mort à Venise" mais je préfère voir le film de Visconti). J'ai continué ma lecture avec "
Le petit monsieur Friedemann" qui se prénomme Jean, petit bossu, qui m'a tenue en haleine mais m'a déçue avec une fin qui n'est pas digne de l'amoureux de la vie.
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