Dans ce roman, l'ex-flic
Yeruldelgger ne mène pas à proprement parler d'enquête mais tente de suivre une retraite spirituelle qui va être émaillée de nombreux incidents. L'atout de "
La Mort nomade" tient à sa touche géopolitique, sur fond de paysages de steppes, de culture et de tradition mongoles, de corruption et d'emprise de grands groupes industriels sur les populations locales. Pour autant, même si
Ian Manook nous dépayse par son voyage dans les vallées mongoles, je n'ai absolument pas aimé le style employé par cet auteur, particulièrement grossier voire injurieux dans ses dialogues. c'est un regret personnel tant le voyage paraissait beau, mais malheureusement pollué par ces éléments !
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