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Critique de Pivoine29


On connaît les Rougons Macquart, au moins l'un de la série (Germinal ; Au bonheur des dames). On connaît le J'accuse de l'affaire Dreyfus. Depuis la parution de sa correspondance avec Alexandrine, je sais qu'Emile Zola a eu deux amours : son épouse et une maîtresse. Mais la correspondance est épaisse. Je n'ai pas eu la courage de la lire. Cette bande dessinée permet d'en savoir plus sur les amours d'Emile Zola, qui même en situation d'adultère, reste un homme droit.
Le livre resitue bien l'époque : la peinture (Cézanne, Mannet) ; Paris qui se transforme avec les percées des boulevards haussmaniens ; les salons littéraires, l'affaire Dreyfus, l'antisémitisme ; les convenances, etc.
L'aquarelle participe à ce rendu d'une époque. Les rondeurs marquent le temps qui passe et laisse son empreinte sur le corps des personnages.
Et derrière chaque grand homme se cache une femme sans lequel il n'est rien.
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