• « 𝐎𝐫𝐝𝐮𝐫𝐞» 𝐝𝐞 𝐄𝐮𝐠𝐞𝐧𝐞 𝐌𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧, 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢é 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐐𝐮𝐢𝐝𝐚𝐦.
• La lecture de cette novella (Oh, tiens, il est rare que j'en lise tant ce format est peu répandu.) m'a été initié lors d'une conversation avec une amie babelionaute (Ah que coucou, NicolaK !) il y a deux mois.
[𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞]
• Ce livre serait apparemment légendaire dans le milieu underground de la fiction américaine novatrice, et c'est l'une des choses qui m'a intrigué au départ, en plus de son synopsis simple mais efficace. Si on ajoute à cela que ce récit est écrit sous la forme d'une novella, tout me laissais penser que j'apprécierais ce voyage en terre maculée, et ce, malgré le ressenti plutôt négatif de mon amie.. Et pourtant, je ne peux que rejoindre les rangs des personnes n'ayant pas accroché.
• Déjà, parlons de son côté trash qui semble en avoir choqué nombres d'entre nous. Personnellement, je ne suis pas forcément habitué à des lectures dont les sujets sont dérangeants, sales, malsains.. Et je m'attendais donc à un plus grand choc. C'est crade certes, mais je m'attendais à pire.. La faute à une société moins puritaine que celle des Américains peut-être ? Il faut dire que depuis petit, j'ai un certain goût pour l'écriture choc donc je dois être habitué d'une certaine manière. La deuxième partie devient de plus en plus dégoutante et c'est à ces moments que l'ambiance anxiogène commence à légèrement m'effleurer.
• L'écriture ne m'a pas séduit, je n'ai rien trouvé de spécial ou de personnel dans ce récit. Pour le coup, il est vrai qu'il n'y a aucune longueur, tout est rapidement fait ou dit et l'histoire avance. L'intérêt pour cette histoire a été presque inexistant pour ma part, le personnage principal ne pouvant pas être apprécié ou même pris en pitié, difficile de s'attacher à cette intrigue le concernant. Il y a certes du suspense et l'on se pose nombre de questions lors de cette lecture, mais l'on reste un peu sur notre faim.
• Ce qui est intéressant finalement, c'est plutôt ce qui se passe autour de l'agent d'entretien. On nous montre des personnages censés avoir une vie correcte, mais qui finalement sombre eux aussi dans une certaine folie, déchéance.. La fin m'a perdu pour être honnête.
[𝙇𝙖 𝙥𝙚𝙩𝙞𝙩𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙭 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙛𝙞𝙣]
• Je suis content d'avoir pu le lire, car même si je ne l'ai pas apprécié, je ne peux que me réjouir d'avoir vécu cette expérience littéraire. Ce livre ne fera jamais partie de mes coups de coeur, mais aura marqué mon parcours de lecteur. Je pense que la novella d'
Eugene Marten était plus percutante à l'époque de sa publication initiale, aujourd'hui ces sujets sont plus connus et dépeints par les médias.
ᴊᴇ ʀᴇғᴇʀᴍᴇ ʀᴀᴘɪᴅᴇᴍᴇɴᴛ ʟᴇ ᴄᴏɴᴛᴇɴᴇᴜʀ à ᴅéᴄʜᴇᴛs ᴀᴠᴀɴᴛ ᴅ'ᴇɴ êᴛʀᴇ ᴘʟᴜs éᴄʟᴀʙᴏᴜssé ᴘᴀʀ ʟᴇs ʀᴇᴊᴇᴛs ᴅᴇs êᴛʀᴇs ʜᴜᴍᴀɪɴs..