Cette couverture, toute en élégance asiatique, en beauté japonaise, m'a vraiment tapé dans l'oeil. oui, il m'en faut peu. Si on ajoute une confiance certaine pour les productions des Éditions Rivages Noir, je ne pouvais que me lancer dans la lecture de ce roman d'
Hisaki Matsuura,
le Calligraphe.
Bon, je le dis tout net, j'ai rien compris, ou presque.
le Calligraphe part comme un roman noir puis bascule, par petites touches, vers un onirisme angoissant qui nous laisse sur le questionnement du réel ou du fantasme. du vrai et du faux. J'essaye d'attraper des indices pour parvenir à me situer mais visiblement, je suis passé à côté. Je n'y trouve pas plus de sens que de cohérence. le style est imagé avec la formalisation de délires horribles. de plus, l'action n'évolue pas très rapidement, très descriptif. J'ai réussi à tenir jusqu'au bout pour avoir une explication et je vous évite la déconvenue, il n'y en a pas.
Alors oui, dans ces cas là, on peut toujours songé à des jeux de miroirs, de faux-semblants, des projections du héros sous d'autres formes. Pour en être sûr, il faudrait décortiquer toutes les visions cauchemardesques, les relier, les analyser. À dire vrai, je n'ai pas pris le temps de le faire.
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