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3,98

sur 867 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Toujours un plaisir de retrouver des personnages que l'on aime : Madame Madrigal, Brian, Michael, Mary Ann et tous les autres... Nous sommes avec ce tome en 1985 et l'on continu a suivre leur vie chamboulé par le sida.
De plus, la plume d'Armistead Maupin est toujours aussi drôle et captivante.
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Avec ce cinquième tome Maupin retrouve la drôlerie et le mordant des trois premiers tomes.
Cette fois, il propose une satyre très pertinente de la société américaine des années 80 et des débuts du communautarisme.
Le rythme est enlevé et les nouveaux personnages hauts en couleurs !
C'est sans aucun doute, l'un des tomes les plus drôles de la série.
Maupin arrive à nouveau à nous surprendre et à nous embarquer dans des aventures improbables...
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Quel plaisir de retrouver Michael, Brian et tous les autres! Nous voilà dans les années 80 et chose inhabituelle, la plus grande partie de l'histoire se passe en dehors de San Francisco. En effet DeDe, D'Or et les jumeaux ont décidé de passer quelques jours dans un festival lesbien pendant que Michael, Brian et Thack, un touriste de passage, se retrouvent quelques jours dans la maison d'un ami. Enfin, de nouveaux personnages, à savoir Booter le nouveau beau-père de DeDe va dans un camp réservé aux hommes WASP et a fait venir sa maîtresse Wren, la plus belle des grosses femmes, près de ce camp. Bien sûr, les histoires de tous vont d'imbriquer les unes dans les autres puisque leurs lieux de vacances se trouvent au bord de la même rivière. Voici pour les aventures rocambolesques de nos amis. En revanche, le personnage de Mary Ann a perdu de sa splendeur. La pauvre biche effarouchée est devenue une starlette très soucieuse de son nombril. On aperçoit que peu le personnage de Mme Madrigal. J'adore cette chronique. Cela se lit facilement malgré des sujets sérieux tels que le SIDA qui se propage dans toute la population.
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Les lectures se suivent et ne se ressemblent pas. Cela faisait un petit moment que je ne m'étais pas plongée dans un tome des Chroniques de San Francisco, et là l'occasion s'est présentée. Juste après avoir terminé Djihad Online, j'avais besoin de décompresser et de me réfugier dans une lecture doudou. Ce tome 5 tombait à pic !

Ce cinquième tome est un peu différent des précédents, puisqu'ils s'intéresse énormément à Mouse et Brian, ainsi qu'à Dede et D'or en laissant de côté Mary Ann et Madame Madrigal.
C'est un peu dommage, puisqu'on avait l'habitude de les suivre tous ensembles dans les tomes précédents.
En plus de nos héros, une partie de l'histoire se concentre sur Booter, le nouveau mari de Frannie et Wren, une jeune femme plutôt intéressante.

Une fois encore, Armistead Maupin apprécie de faire tourner ses personnage en bourrique et il n'y va évidemment pas avec le dos de la cuillère. C'est à se demander si nos héros auront un jour une vie normale...
Mais c'est évidemment ce qui fait tout le charme de cette saga: les aventures farfelues et les bons mots des divers protagonistes. Je regrette cependant le petit grain de folie supplémentaire qui caractérisait si bien les trois premiers tomes.
Par rapport à ceux-ci, les tomes 4 et 5 paraissent plutôt gentillets.

Mais ce n'est finalement pas si grave, puisque le ton des romans reste très léger et que c'est typiquement ce que l'on recherche avec ce type de lecture.

Cependant, malgré le ton volontairement gai - très mauvais jeu de mot, mais j'assume - ce tome traite un peu plus des ravages du VIH. On commence à sentir les prémices de ce que donneront la fin des années 80 et le début des années 90 avec l'avènement du mouvement Act Up.

En bref, les Chroniques de San Francisco continuent de m'emporter et de me faire décompresser quand j'en ai besoin et rien que pour cela, je suis contente de m'être lancée dans l'aventure. C'est avec délice que je me plonge dans chaque nouveau tome et que je retrouve mes personnages chéris.
Lien : http://www.cranberriesaddict..
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C'est avec un grand plaisir que je retrouve la vie trépidante de Brian, Mary Ann, Mickael et Mme Madrigal.

Brian et Mary sont maintenant parents attentionnés d'une magnifique Shawna. Les années 80 sont là et les rôles sont inversés : Brian s'occupe de sa fille tandis que sa femme Mary Ann développe sa carrière. Ce mode de vie va les éloigner, Brian se cherche des "a-cotés" qui vont causés sa perte et Mary Ann n'a que des yeux pour sa carrière ce qui va la perdre lui aussi.

Mickael se remet doucement de la perte de son amant Jon, mort du sida.

Ce tome traite de tout ce qu'on put contenir les années 80 : la méfiance vis-à-vis de la communauté Gay, le féminisme poussée à son paroxysme, le sida...

J'aime cette saga, elle sent la liberté mais elle raconte aussi d'une manière pleine d'humour les années 80 à San Francisco. Malgré l'humour, dès fois, tout cela donne à réfléchir...
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Comme chaque l'été, je le lis, et savoure, un tome des Chroniques de S.F. Ce tome-ci est l'un des meilleurs de la sage, on retrouve le piquant et la drôlerie du tout premier, toujours avec un regard conscient sur son époque, l'auteur nous entraine une fois de plus dans les aventures de nos héros de Barbery Lane. Déjà hâte d'être à l'été prochain.
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Après avoir lu ce cinquième tome, je note certains points:
- Mary Ann est devenue une grande emmerdeuse. Enfin, elle a toujours été spécial mais bon là, un pur produit du showbiz'.
- Michael est un type vraiment attachant.
- Armistead Maupin s'est amusé avec ce séjour en forêt. Avec d'un côté les hommes types WASP, chauvins, conservateurs et les lesbiennes en furie de l'autre, cela avait de quoi amuser. Mais avoir ces deux groupes totalement opposés au bord de la même rivière, c'est carrément l'extase.

Le cinquième volet de la saga a le mérite de modifier un élément de narration essentiel, on ne suit plus tous les membres de la bande mais uniquement certains d'entre eux et pour une une bonne partie du temps, en dehors de Barbary Lane.
L'auteur a de plus posé un cadre différent du San Francisco centre avec cette visite dans les antres de cette communauté secrète complètement ahurissante.

Moi, j'en redemande comme ça. C'était super.
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J'ai adoré les chroniques de San Francisco, ces personnages attachants,
la vie de Mary-Ann, Madame Madrigal, Michael, Brian, Mona, partageant une maison sur Barbary Lane... la vie sans tabou des années 80 aux Etats-Unis.
Ces chroniques font un bien fou ! J'ai lu les 6 tomes d'une traite, il y a une vingtaine d'années, mais j'y repense toujours avec autant de plaisir. J'imagine que les lire maintenant pour ceux qui ne les connaissent pas pourrait être une solution à la morosité ambiante.
C'est une lecture que j'ai souvent conseillée !
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C'est avec un grand plaisir que je retrouvais la troupe de Barbery Lane mais aussi avec un peu d'appréhension car le tome précédent était une lecture mitigée pour moi. Et finalement ça a été une réussite c'est l'un de mes tomes préféré de la saga. J'ai beaucoup aimé car on change de cadre. Les personnages sont tous loufoques mais toujours aussi attachants. L'histoire s'est un peu détachée de Mary Ann qui m'avait agacée dans le tome précédent donc plutôt bien. J'ai hâte de découvrir le prochain volume !
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Une série de romans qui se lit trop vite ! On les enchaîne en espérant naïvement qu'il n'y aura pas de fin.
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