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Critique de GuillaumeTM
A l'origine inspiré d'un fait divers : une femme tentant d'empoisonner son mari. Il part donc de cette base pour nous fignoler un portrait, tout en finesse psychologique, d'une femme mariée par intérêt à un homme qu'elle n'aime pas, d'où la tentative d'empoisonnement qu'elle n'arrive à se l'expliquer elle-même.
Le style précieux de Mauriac en est aussi admirable et embrasse à la perfection le rythme indolent d'une province fortement imprégnée, comme de coutume dans les années 1930, de catholicisme.
Thérèse Desqueyroux restera pour moi à jamais l'un des portraits de femme dans la littérature les plus saisissants qui soient, un peu à l'image de l'Albertine de Proust.
Le style précieux de Mauriac en est aussi admirable et embrasse à la perfection le rythme indolent d'une province fortement imprégnée, comme de coutume dans les années 1930, de catholicisme.
Thérèse Desqueyroux restera pour moi à jamais l'un des portraits de femme dans la littérature les plus saisissants qui soient, un peu à l'image de l'Albertine de Proust.
