Mais on a tort à ne faire du baroque que pléthore béate, monotone extravagance, car le baroque le plus pur ne se fonde jamais, j’y reviens, que sur la pauvreté, le contraste entre l’or et le plâtre et ne m’apparaît jamais plus émouvant que lorsqu’il transmute, comme dans une volute de stuc, la chaux en lumière. (P.115)