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Critique de babel95


Avez-vous des nouvelles de Mma Ramotswe, la directrice de l'Agence n°1 des Dames Détectives, à Gaborone, Botswana ?

La vie comme elle va, le roman d'Alexander McCall Smith, nous permet de reprendre contact avec nos personnages favoris, Mma Ramotswe, son fiancé le garagiste J.L.B. Matekoni, son assistante aux grosses lunettes Mma Makutsi.
Les enquêtes se succèdent à l'Agence. Mma Ramotswe doit conseiller une importante femme d'affaires, Mma Holonga, qui dirige une chaîne de salons de coiffures. de ses quatre prétendants, quel est le plus honnête ?
La vie du timide et calme J.L.B. Matekoni est un enfer : on l'a convaincu de sauter en parachute afin de récolter des fonds pour la maison des orphelins, une oeuvre de charité, et la seule idée de ce saut le rend mort de peur. Il doit aussi affronter son concurrent, le directeur du garage First Class Motors. Comment lui faire comprendre que ses réparations défectueuses mettent en danger la vie de ses clients ?
Bien sûr, Mma Ramotswe va résoudre l'enquête avec le brio qu'on lui connaît.
De tous les personnages de la vie comme elle va, c'est Mma Potokwane, la directrice de la maison des orphelins, qui tient cette fois le rôle principal. Grâce à sa forte personnalité, à ses talents d'organisatrice, elle va permettre à M.J.L.B. Matekoni de retrouver Mma Ramotswe au cours d'une très grande fête, pendant laquelle son apprenti sautera en parachute à sa place. Nos deux héros, quant à eux, s'apprêtent eux aussi à faire un grand saut.... et sans qu'ils le sachent, la fête va bientôt sceller leur avenir commun.
Dans La Vie comme elle va, l'Afrique traditionnelle du Botswana et de la savane sert de décor à une histoire simple. L'Afrique, ses couleurs, ses odeurs, le désert, les Africains et leur culture apportent leur éclairage si particulier aux romains d'Alexander McCall Smith. Une fois de plus la magie opère.
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