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Critique de evergreen13
Eau noire, or noir.
Quand Elinor demande à Oscar d'acheter des terres marécageuses, tout le monde s'interroge : pourquoi acquérir ces terrains infestés de moustiques ? Mais Oscar n'a pas l'habitude de contester les décisions de sa femme et finalement toute la famille se range derrière Elinor, même Miriam après que sa mère l'ait emmenée visiter le marais et révélé ce qu'il recèle. Je ne tue pas le suspens en indiquant qu'il s'agit de pétrole, la couverture étant suffisamment explicite sur les origines de la fortune… Car oui, c'est une véritable fortune qui va combler la famille Caskey, à la plus grande satisfaction de Miriam devenue la véritable cheffe de l'entreprise familiale.
Et, comme à l'accoutumée, lorsqu'un personnage disparait (c'est le cas dans tous les « épisodes »), un autre, ou d'autres apparaissent ou prennent une épaisseur insoupçonnée.
C'est aussi le moment des métamorphoses, celle de Sister, celle de Miriam et évidemment celle de Frances…
J'ai trouvé ce volet nettement plus intéressant que le quatrième ! le surnaturel y est plus présent aussi. J'ai beaucoup aimé le personnage de Frances, son évolution et les choix auxquels elle est confrontée.
Je me suis plongée avec délices dans la Perdido en prenant soin, tout de même, de ne pas me laisser trop dériver vers la confluence… On ne sait jamais…
Quand Elinor demande à Oscar d'acheter des terres marécageuses, tout le monde s'interroge : pourquoi acquérir ces terrains infestés de moustiques ? Mais Oscar n'a pas l'habitude de contester les décisions de sa femme et finalement toute la famille se range derrière Elinor, même Miriam après que sa mère l'ait emmenée visiter le marais et révélé ce qu'il recèle. Je ne tue pas le suspens en indiquant qu'il s'agit de pétrole, la couverture étant suffisamment explicite sur les origines de la fortune… Car oui, c'est une véritable fortune qui va combler la famille Caskey, à la plus grande satisfaction de Miriam devenue la véritable cheffe de l'entreprise familiale.
Et, comme à l'accoutumée, lorsqu'un personnage disparait (c'est le cas dans tous les « épisodes »), un autre, ou d'autres apparaissent ou prennent une épaisseur insoupçonnée.
C'est aussi le moment des métamorphoses, celle de Sister, celle de Miriam et évidemment celle de Frances…
J'ai trouvé ce volet nettement plus intéressant que le quatrième ! le surnaturel y est plus présent aussi. J'ai beaucoup aimé le personnage de Frances, son évolution et les choix auxquels elle est confrontée.
Je me suis plongée avec délices dans la Perdido en prenant soin, tout de même, de ne pas me laisser trop dériver vers la confluence… On ne sait jamais…
