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Critique de Lapetitebookiniste
Ne vous fiez ni à sa couverture ni à son titre français.
L'auteur de cet ouvrage, Jay McInerney, aurait mis cinq ans à le rédiger et je comprends pourquoi. Son contenu, composé de nombreux détails et d'un enchaînement de courtes scènes, est dense et se veut le reflet d'une époque où les golden boys, la drogue et l'alcool faisaient la loi.
Nous prenons plaisir à suivre la vie de Corinne et Russell, qui évoluent dans la sphère des nouveaux riches new-yorkais, entre fêtes et travails prestigieux (édition et bourse). Sur fond d'ambiance bohème, l'auteur dépeint l'évolution de leurs aspirations, leurs états d'âmes.
L'écriture est dynamique, cynique, incisive, et l'auteur présente sarcastiquement ce monde où excentricité et argent sont la norme, qui rappelle en quelque sorte l'ambiance du Loup de Wall Street.
Ce premier opus d'une trilogie donne envie de prolonger l'expérience.
L'auteur de cet ouvrage, Jay McInerney, aurait mis cinq ans à le rédiger et je comprends pourquoi. Son contenu, composé de nombreux détails et d'un enchaînement de courtes scènes, est dense et se veut le reflet d'une époque où les golden boys, la drogue et l'alcool faisaient la loi.
Nous prenons plaisir à suivre la vie de Corinne et Russell, qui évoluent dans la sphère des nouveaux riches new-yorkais, entre fêtes et travails prestigieux (édition et bourse). Sur fond d'ambiance bohème, l'auteur dépeint l'évolution de leurs aspirations, leurs états d'âmes.
L'écriture est dynamique, cynique, incisive, et l'auteur présente sarcastiquement ce monde où excentricité et argent sont la norme, qui rappelle en quelque sorte l'ambiance du Loup de Wall Street.
Ce premier opus d'une trilogie donne envie de prolonger l'expérience.
