Wake

J'ai reçu Wake grâce à Masse Critique. Bon, après avoir lu des dizaines d'avis tous négatifs ou presque, j'appréhendais un peu cette lecture. Et malheureusement, je fais partie de ceux qui n'ont pas du tout apprécié ce roman. Même si je n'ai pas aimé, je remercie tout de même Babelio et les éditions La martinière pour cette découverte.

Vous m'excuserez mais je vais passer le résumé pour la simple et bonne raison que je ne saurais pas quoi dire. Je n'ai toujours pas compris quelle était l'intrigue de ce roman...
Wake est peut-être court mais il est difficile à lire. La raison principale est le style de l'auteure. Les phrases sont courtes ; sujet, verbe, complément. Janie fait ci, Janie fait ça. C'est très 'mécanique' si vous voyez ce que je veux dire et surtout, c'est vite lassant. J'ai mis un long moment à m'y habituer.

Au niveau des personnages, je ne me suis pas attachée à eux. Je trouvent qu'ils ne sont pas assez développés. Ils n'ont pas vraiment de personnalité, ils manquent de profondeur et se ressemblent tous plus ou moins. de plus, le style de la narration fait qu'on ne ressent pas les émotions ce qui rend l'attachement aux personnages encore plus difficile (pour ne pas dire impossible).

Quant à l'histoire, il y a pas mal de passages que j'ai trouvé incohérents. Par moment, tout va trop vite ou se résout trop facilement. On aimerait plus d'explications, de développement. J'ai aussi eu l'impression qu'il n'y avait aucune intrigue. On avance dans l'histoire sans savoir ou on va, sans but, rien. Je suis sortie de ce livre un peu confuse en me demandant 'Qu'est ce que je viens de lire?' et j'avoue ne pas connaître la réponse.

En conclusion, je n'accroche pas au style de l'auteure et les personnages (tout comme l'histoire elle même) ne sont pas assez développés. C'est vraiment dommage car le sujet était assez original et aurait pu être intéressant. Une déception, donc.

Lisa McMann s'est emparée d'un nouvel univers dans la littérature fantastique pour ados. L'atmosphère générale du roman est plutôt angoissante du fait que Janie ne puisse aucunement contrôler son don. Et l'alternance de la voix de la jeune fille avec les flashs de ses rêves (en utilisant deux polices différences) nous montre de manière très concrète la situation de Janie.

Le roman comporte peu de personnages secondaires pour se concentrer sur la psychologie de l'héroïne. On comprend vite son besoin d'aide, tout comme celui de prendre du recul par rapport à ce qu'elle « voit ». L'auteur pose alors la question de la signification des rêves. Est-ce parce qu'on rêve de faire du mal à quelqu'un qu'on le fera ? L'enquête autour des rêves et de leurs représentations devient un enjeu pour Janie. Et puis forcément un personnage masculin qui intrigue notre héroïne…

L'écriture de Lisa McMann est fluide, le rythme enlevé et la fin trop vite arrivée à mon goût. D'ailleurs je n'ai pas compris le besoin de faire une trilogie autour de l'intrigue développée par l'auteur. Pour moi il aurait fallu gonflé ce roman de quelques centaines de pages, cela aurait été suffisant à clôturer l'histoire (et cela aurait aussi justifié son prix).
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C'est l'histoire d'une fille -vous m'en direz tant, je ne lis que peu de point de vue masculin- elle possède un don hors du commun qui lui pourri la vie, elle est happée par les rêves des dormeurs à proximité. Dur dur quand on grandit avec une maman alcoolo, dans un quartier pauvre avec les allocs comme seul moyen de survie, de devoir en plus garder toute sa tête quand on se faufile contre sa volonté dans le rêve de ceux qui piquent un roupillon pas loin de vous... M'enfin, Janie Hannagan parvient à évoluer vers une version censée d'elle-même malgré tout. Mais voilà que l'amour s'en mêle et finit par lui emmêler également les pinceaux, arrivera-t-elle à garder la tête froide et à trouver une forme de contrôle, voir d'utilité à son don ?
Bon concrètement, j'ai été attiré par le côté onirique promis, mais je me suis retrouvée avec un journal pas intime et des entrées par date à la troisième personne des glissades dans les rêves de Janie, enfin pas ses rêves mais ses glissades à elle. Au début, ça allait c'était intriguant et j'avais vraiment envie de voir où ça allait mener, mais force et de constater que la fin m'a déçue, même si la lecture n'a pas été désagréable et que oui, cela se lit vite, je reste avec une sensation d'insatisfaction.

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Bon, je vais peut-être être un poil crue et sévère, mais j'ai vraiment eu l'impression de lire un bouquin écrit par une collégienne ou jeune lycéenne. Un niveau d'écriture limite insultant dans sa qualité médiocre pour le public ciblé, des personnages clichés as-fuck et terriblement creux, un scénario qui aurait pu être bien plus intrigant et intense, mais qui reste complètement dans la surface… Un résumé pas bien gai de ma lecture, mais sincère. Je me suis forcée pour aller jusqu'au bout et je suis contente d'avoir trouvé ce livre pour une somme ridicule.

Le pitch de base est pas ultra original, mais il a le mérite d'avoir du potentiel et de donner des pistes intéressantes pour l'auteure. Mais l'héroïne qui possède ce pouvoir de vivre les rêves des autres, Janie, est pas franchement convaincante dans sa manière de traiter les choses. Elle est au courant de son étrange capacité, mais elle la vit comme une victime, sans avoir l'air de vraiment vouloir la comprendre. Elle sait qu'elle peut faire ça depuis des années, mais elle commence à faire des recherches dessus qu'au lycée… wtf girl ? Quand elle a l'opportunité d'en apprendre plus, elle fuit avec une raison terriblement immature. En fait, tout est immature dans ce livre… le traitement du côté fantastique, qui est trop léger et pas assez exploité, le traitement des personnages, qui est à pleurer car ils font tous pitié, l'écriture… Heu, je ne sais pas si le livre était fait pour des enfants de primaire ou des ados. Des ados, d'après les personnages rencontrés dans l'histoire. Mais… même mes bouquins sur les poneys que je lisais en primaire étaient mieux écrits et plus riches en vocabulaire et syntaxe T-T Oskur les gars !

Puis les personnages. Je crois qu'une partie de leur traitement peut être expliqué par l'époque où a été écrit le livre, où les gothiques, le côté « élèves populaires VS élèves de la masse » était très à la mode. Sauf que lorsqu'on est adulte et qu'on écrit une histoire avec des ados dedans, on essaie quand même de les rendre un poil originaux et sympathiques. Là, pour faire bref, on a la jeune fille pauvre, pas très charismatique, ni populaire, pas ultra intelligente ni belle… la fille dans la moyenne en tout. OK, c'est pas un problème de choisir un protagoniste comme ça ; au contraire, ça donne du défi ! Mais Janie est traitée exactement comme une bonne ado moyenne en tout : en victime. Il faut vraiment attendre la fin du livre pour qu'elle ait enfin l'air de prendre sa vie en main. Pourtant, elle partait d'une bonne base : avec sa mère alcoolique (ouais, pas un père alcoolique pour une fois, un point pour Wake, yes), elle est obligée de bosser. Elle aurait donc pu passer pour une nana badass et battante ! Ben que dalle, car ses « amies » la traitent bien trop à la légère et elle se fixe sur son Cabel trop dark qui a des relations suspicieuses avec la drogue. Aled. Même Cabel me fait juste de la peine. Il n'existe que par le biais de Janie dans ce tome et il faut attendre la toute fin pour qu'il commence à avoir à peu près une présence crédible. Et ouf ! C'est un preux chevalier sur son bel étalon blanc (ou noir, il est un peu gothique quand même) qui vient en rescousse aux interrogations existentielles de Janie. Sans compter que ce Cabel a un sale passé, mais que, tranquille, on expédie des violences parentales et du maltraitement en quelques pages, no worry.

Bref, le livre manque affreusement de crédibilité et d'approfondissement. Une lecture pas franchement palpitante avec des personnages pas attachants et déjà-vus. Je me passe de la suite.
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Première déception du mois de mai et je me demande, vraiment, si j'aime encore les Young Adult car j'ai eu le même problème qu'avec "Sans attendre" : J'ai eu l'impression que j'avais, en face de moi, des personnages qui jouaient aux grands. Il manquait de crédibilité et de naturel.

L'idée de base du roman était intéressante, malheureusement, l'Auteur va s'attarder sur des points qui ne m'ont pas intéressés, comme par exemple, l'amitié que Janie peut avoir avec Carrie, sa vie au lycée....et faire l'impasse sur son aptitude, ce qui est dommage. A la fin de ce tome, même si son pouvoir a évolué, on ne sait toujours pas son origine, pourquoi elle l'a, comment il fonctionne vraiment.....la suite est sur le blog
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J'ai été déçue de cette lecture, surtout que je m'attendais à quelque chose d'assez intéressant. le thème du rêve m'interpellait tout comme le pouvoir mystérieux de Janie. Sans aucun doute, l'histoire m'aurait plu si les personnages étaient plus développés. Je n'ai pas saisi grand chose de ceux-ci et les dialogues sont souvent peu crédibles, de même que leurs relations (Janie & Cabel, entre autres *toussote*. Dû à ce manque, je me suis souvent mêlée dans le récit, décrochée du fil de l'histoire... En plus, les descriptions sont pas mal restreintes.

Merde, merde. L'idée est absolument géniale, ça aurait pu envoyer du pâté, c'est dommage.

Capter les rêves est un excellent point de départ à cette histoire, dont le déroulement ne cesse d'être étonnant. Ceci dit, et je le regrette vraiment, ce récit manque de profondeur, de travail. Je ne le trouve pas abouti dans sa rédaction. Déjà, c'est écrit au présent, chose que je n'apprécie pas en générale et que je déplore plus que tout ici. Ensuite, l'idée de le faire en journal à travaillé l'auteur qui a ponctué tout son récit des jours et heures ou tout se déroulait. Mais un bon vieux journal aurait très bien pu faire l'affaire, surtout que Jannie en tient un, relatant ses rêves, pourquoi ne pas s'être appuyé dessus. C'est dommage. Ensuite, les retours en arrière au début son très perturbants, on se demande ou l'auteur voulait en venir. Enfin, on se demande franchement s'il y aura une suite ou pas, ce dernier point n'est pas clair.

Bref, je ne le recommande pas, mais libre à chacun d'y trouver plus.

Quand les gens s'endorment près d'elle, Janie se trouve aspiré dans leurs rêves. Leurs plus grandes peurs, leurs secrets. Mais quand ils sont en mauvaise position, comment peut-elle les aider ? Peut-elle faire confiance à Cabel en lui confiant son secret , à lui qui fait des rêves plutôt inquiétant ?

Un livre qui me tentait énormément depuis longtemps et qui m'as déçue tout simplement. Dès le début, le premier rêve , je l'ai trouvé un peu trop banal. Pour un début, je m'attendais à être un peu surprise avec un rêve plutôt particulier. Pourtant, on assiste au rêve de garçon qui participe le lendemain à un match de football qui permettra de participer au championnat. Il est stressé donc il rêve qu'il se retrouve nu sur le terrain. Je sais pas pourquoi, je n'ai pas été surprise. Après, peut être que j'en attendais trop, peut être que l'auteur cherchais à nous surprendre d'une autre façon. Je n'étais pas vraiment convaincu par ce début mais comme l'idée du "pouvoir" de Janie m'intriguait j'ai continué ma lecture.

Les 50 premières pages sont là pour poser l'histoire, nous décrire ce qui se passe quand Janie découvre son "pouvoir". Ils nous parlent de ces premiers cas, des premières fois. Mais par la suite, on avance pas vraiment dans ce premier tome. de plus, je ne sais pas si c'était juste avec mon exemplaire l'écriture est agrandie pour un peu plus de 200 pages.

Côté personnage, le personnage de Janie - l'héroïne- a été une petite surprise (enfin !). Soit je l'adorais, soit elle m'énervais. Je passais vraiment de deux sentiments à une autre avec elle. Elle m'as fait rire mais son côté parfois "Tu m'as fait ça ? Très bien, je m'en vais. Je te parle plus." avec Cabel me tapait sur les nerfs.

Donc comme je le disais au début, j'aimais bien l'idée d'entrer dans les rêves des autres. A la fin, je me rends compte qu'elle n'as pas été assez développée, pas assez exploitée.
Je n'ai pas eu l'impression qu'il se passait grand chose dans ce premier tome. Il y a eu aussi des détails dont je n'ai pas compris le sens, ou d'autres que je n'ai tout simplement pas compris du tout. - faut se le dire -
J'ai donc apprécié mais sans plus, on est presque dans le "bof". Pour le moment, j'attends la suite pour savoir si elle saura modifier mon jugement, si je vais y trouver des réponses à mes questions, si la suite vas me convaincre tout simplement !

Il me tentait depuis un bon bout de temps, et j'ai enfin pu le lire. Et je dois avouer que je suis assez… perplexe. Disons que certains points m'ont plutôt perturbée, mais que dans l'ensemble, ma lecture fut agréable et m'a bien plu.

Le début de ma lecture fut difficile, en partie parce que j'ai eu du mal à me faire à la narration. J'aurais pensé que le texte serait à la première personne, vu le résumé et le style d'histoire, mais ce n'est pas le cas. de plus, que chaque chapitre soit découpé en courtes plages horaires m'a gêné, je n'arrivais pas à bien entrer dans le récit.

Cela étant, l'idée de base m'a bien plu. Cet univers onirique est peu vu dans les livres, mais j'aurais aimé que ça soit plus abordé dans ce premier tome. Ce premier livre sert d'introduction à l'univers créé par Lisa McMann, et je trouve dommage qu'il n'y ait pas plus d'informations. de plus, Janie subit les rêves, ne peut rien contre eux, alors qu'à la lecture du résumé, on s'attend plus à la voir les manipuler. Une petite déception donc concernant ce point. Néanmoins, le sujet est assez bien traité, même s'il manque des détails.
D'ailleurs, j'ai noté un global manque de détails, de développement et d'approfondissement, pas seulement concernant la notion des rêves. Ainsi, on a peu d'indications sur les lieux, sur les personnages, sur les évènements, etc. C'est dommage, car je trouve que c'est ce qui peut refroidir le plus le lecteur.

Une chose que je n'ai pas vraiment compris, malgré les explications qui nous sont données par Cabel, c'est l'irruption de l'enquête de police. Ok, c'est lié à Cabel, mais je trouve ce fait sans rapport avec l'histoire de Janie, ainsi qu'avec les rêves. Dans le fond, c'est une bonne idée, qui permet d'amener une suite, mais je la trouve mal amené, et du coup je me suis demandé ce que ça faisait là.

Au niveau des personnages…Je n'ai pas grand-chose à dire sur eux, du fait qu'on n'a pas des masses d'infos en fait. Et du coup, il n'y a pas vraiment de possibilité d'attachement, car on ne sait rien d'eux.
Janie et Cabel sont tous les deux à part, vivants dans des conditions plus ou moins précaires, ayant tous deux des problèmes familiaux. Janie se doit de s'éloigner des gens, à cause des rêves, et Cabel semble… naturellement méfiant et réservé.
En fait, des deux c'est Cabel que j'ai préféré. Il est sensible, étrange et pourtant attentionné envers elle.
Il y a un fait qui m'a rendue perplexe, c'est cette évocation des capteurs de rêves (en parlant de gens), en rapport avec le personnage de Martha Stubin. J'ai trouvé dommage qu'on n'ait pas un début de piste quant à une explication. du coup, on reste dans le flou au sujet de cette étrange capacité qu'à Janie.

Donc, Wake est une lecture intrigante, qu'un manque de détails vient gâcher. Et pourtant, on rentre assez vite dans le récit, et j'ai bien envie de découvrir la suite, juste pour en apprendre plus sur ces rêves et savoir ce qu'il va arriver à Janie et Cabel. Cela étant, si le tome 2 est aussi peu développé, je risque d'arrêter là ma lecture de cette trilogie…
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Je n'ai pas du tout aimé ce roman ; trop linéaire dans le récit, pas beaucoup d'originalité....
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