A un moment, les enfants sont minuscules et vous essayez de retirer leur maillot sans trop tirer sur leur tête et, la minute d'après, ils sont en train de vous prendre un crédit bancaire et de s'installer en couple dans leur premier appartement ; [...] Tout va tellement vite.
Vous n'êtes la victime que si vous voulez l'être. [...] C'est parfois difficile, mais c'est ainsi. Il suffit de refuser de se laisser atteindre. Si vous laissez les choses vous diminuer, c'est vraiment du mauvais karma.
... je pense qu'elle n'a rien compris, cette Simone de Beauvoir. Nous [ les femmes ] ne sommes pas le second sexe, pas du tout. Nous sommes le premier. Sans les femmes, tout partirait à vau-l'eau.
C'est extraordinaire cette résurgence du tricot. C'est une véritable forme d'expression artistique. [...] A l'époque, il s'agissait essentiellement d'hommes qui fabriquaient des braies ou des tapis de laine [...].Mais c'est toujours la même chose [...] : lorsque les hommes font quelque chose, c'est un art, mais, quand ce sont les femmes qui s'en chargent, ce n'est plus qu'un passe-temps. C'est vraiment insupportable.
Lorsqu'on vous insulte, la seule manière de réagir est d'ignorer la personne. Lorsqu'elle voit que cela ne vous fait rien, elle cesse de vous provoquer.
Il est important de transmettre les techniques traditionnelles et de les préserver pour les générations futures
Chaque fois que je sens que les choses m’échappent, j’ai envie de tricoter, et le rythme des rangs et la sensation de la laine entre mes doigts suffisent généralement à m’aider à récupérer, même lorsque je suis en train de tricoter un châle pour une grande star de cinéma et que je dois accélérer afin d’aller dans sa résidence de campagne et récolter des scoops pour Ellen.
Et regarde ce qu’ils ont fait à la princesse Diana. Remarque que, si elle était restée chez elle, rien ne se serait passé. Tout le monde sait que les Français conduisent comme des fous.
J’ai horreur quand elles sont charmantes. C’est bien plus agréable quand elles se conduisent comme des garces qu’on peut haïr.
En pantalon en velours et pull ample, il a toujours l’air jeune et guilleret, et il est toujours entouré d’une ribambelle de gosses, tel le Joueur de flûte, mais sans les rats.