Les légendes sont le résultat des rumeurs et du temps qui passe.
Mourir serait une solution de facilité. C'est vivre avec ce que nous avons fait sur la conscience qui fait office de châtiment.
Vous mesurez la puissance d'un ennemi en l'affrontant, pas en capitulant devant lui. Tout comme vous éprouvez la violence du vent en marchant contre lui, pas en vous couchant par terre.
Est-ce les gens qui façonnent les planètes sur lesquelles ils vivent ou les planètes qui les façonnent ? La nature d'un monde peut-elle affecter une population entière ou l'âme humaine est-elle plus forte que la seule géographie ?
Il arrive que les fantômes du passé ne vous laissent jamais en paix...
D'une minuscule étincelle germera la plus vive des flammes.
Peut-être que la nuance entre le bien et le mal n'est qu'une question de perspective.
La victoire n'implique pas seulement de défaire l'ennemi, mais de l'anéantir, de l'éradiquer définitivement de la mémoire de l'univers, de ne rien laisser subsister de ses efforts, de détruire absolument tout ce qu'il a pu accomplir et d'effacer des registres la moindre trace de son existence. Aucun ennemi ne pourra jamais se relever d'une telle défaite.
Il ne peut y avoir de spectateur innocent dans une lutte pour la survie. Toute personne qui ne se battra pas à vos côtés est un ennemi que vous devez abattre.
Les hommes étaient des créatures laides et brutales, faites de chair, d'os et de désirs, vivant de sordides petites vies étriquées et proliférant comme des lapins tout au long de leurs vaines existences.