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Critique de Pachy
Fabrice Melquiot n'est pas le premier auteur de théâtre venu. Certains, je fais partie de ceux-là, le compare à Shakespeare tant il parle avec justesse de la société. Marcia Hesse et l'inattendu peuvent l'attester.
Albatros est une histoire écrite le théâtre jeunesse et pourtant, j'ai eu l'occasion ce 13 juin 2014, qu'elle fait pleurer les mamans. On s'attache immédiatement à P'tite Pièce, 10 ans et à Casper. 12 ans 10 ans qui vont vivre un laps de temps assis au pied de l'escalier d'un immeuble à (se) parler. A nous laisser vivre leurs souvenirs et leurs rêves et … à regarder les hommes en noir.. et puis il y a cet homme, en blanc, ce génie de l'huile de coude…
Finalement en arrivant au bout de cette pièce magnifique, on comprend bien des choses ; on prend quelques leçons, et on apprend à s'émouvoir….
Voilà pourquoi, comme Marcia Hesse ou l'inattendu, j'ai aimé cette pièce de Fabrice Melquiot. Et voilà pourquoi Fabrice Melquiot n'est pas le premier venu.
Si au bout de quarante pages, vous jugez cette pièce déjantée, voire idiote : merci de ne pas fermer le livre et d'aller jusqu'au bout. Merci d'avoir l'humilité de dire « Je me suis trompé et j'ai versé une larme.
Mais votre jugement est le votre et vous avez le droit de ne pas aimer.
Albatros est une histoire écrite le théâtre jeunesse et pourtant, j'ai eu l'occasion ce 13 juin 2014, qu'elle fait pleurer les mamans. On s'attache immédiatement à P'tite Pièce, 10 ans et à Casper. 12 ans 10 ans qui vont vivre un laps de temps assis au pied de l'escalier d'un immeuble à (se) parler. A nous laisser vivre leurs souvenirs et leurs rêves et … à regarder les hommes en noir.. et puis il y a cet homme, en blanc, ce génie de l'huile de coude…
Finalement en arrivant au bout de cette pièce magnifique, on comprend bien des choses ; on prend quelques leçons, et on apprend à s'émouvoir….
Voilà pourquoi, comme Marcia Hesse ou l'inattendu, j'ai aimé cette pièce de Fabrice Melquiot. Et voilà pourquoi Fabrice Melquiot n'est pas le premier venu.
Si au bout de quarante pages, vous jugez cette pièce déjantée, voire idiote : merci de ne pas fermer le livre et d'aller jusqu'au bout. Merci d'avoir l'humilité de dire « Je me suis trompé et j'ai versé une larme.
Mais votre jugement est le votre et vous avez le droit de ne pas aimer.
