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Critique de Luria
Amour fou (préambule)
J'ai choisi ce livre pour sa couverture. Avec ses pommes d'amour sur filtre sépia jaune formica.
J'adore les pommes d'amour. Enfin les regarder. Parce que quand tu croques dedans c'est toujours décevant. La différence de structure entre sucre et fruit. Trop dur, trop collant, tu en as plein les dents, le visage, les doigts, partout. Pouah.
Amour fou (un roman polyphonique).
J'aime beaucoup ce format de récit. Un décès suspect et une toute petite nuée de personnes qui évolue et donc s'exprime tour à tour autour de cette affaire là. Et du reste de leur vie.
Amour fou (c'est le titre)
Et donc au delà de l'enquête, on réalise vite que les personnages sont tous (plus ou moins) siphonnés et aiment trop/mal/dangereusement/beaucoup/à la folie/pas du tout. J'ai trouvé ça truculent. de découvrir (sur le tard pour certains) qu'en plus d'être dingues aucun n'est sympathique, et de moins en moins au fil des pages. C'était comme les pommes d'amour de la couverture. Il y a ce filtre jaunâtre sur tout. Et le sucre qui colle partout.
Amour fou (ressenti)
Alors non, le roman et moi n'avons pas matché à ce point là néanmoins j'ai aimé suivre le temps de quelques chapitres, courts, toujours très enlevés, ces personnages cabossés. le village entier est quasiment un asile au grand air tellement tout le monde y est arfhumbzoing-decati. Qu'est ce que la normalité en même temps mmmh... C'est le premier roman de l'auteur que je lis et c'était une très chouette rencontre, merci !
[ ô éditeur, rdv page 229. C'est pas jojo quand même]
J'ai choisi ce livre pour sa couverture. Avec ses pommes d'amour sur filtre sépia jaune formica.
J'adore les pommes d'amour. Enfin les regarder. Parce que quand tu croques dedans c'est toujours décevant. La différence de structure entre sucre et fruit. Trop dur, trop collant, tu en as plein les dents, le visage, les doigts, partout. Pouah.
Amour fou (un roman polyphonique).
J'aime beaucoup ce format de récit. Un décès suspect et une toute petite nuée de personnes qui évolue et donc s'exprime tour à tour autour de cette affaire là. Et du reste de leur vie.
Amour fou (c'est le titre)
Et donc au delà de l'enquête, on réalise vite que les personnages sont tous (plus ou moins) siphonnés et aiment trop/mal/dangereusement/beaucoup/à la folie/pas du tout. J'ai trouvé ça truculent. de découvrir (sur le tard pour certains) qu'en plus d'être dingues aucun n'est sympathique, et de moins en moins au fil des pages. C'était comme les pommes d'amour de la couverture. Il y a ce filtre jaunâtre sur tout. Et le sucre qui colle partout.
Amour fou (ressenti)
Alors non, le roman et moi n'avons pas matché à ce point là néanmoins j'ai aimé suivre le temps de quelques chapitres, courts, toujours très enlevés, ces personnages cabossés. le village entier est quasiment un asile au grand air tellement tout le monde y est arfhumbzoing-decati. Qu'est ce que la normalité en même temps mmmh... C'est le premier roman de l'auteur que je lis et c'était une très chouette rencontre, merci !
[ ô éditeur, rdv page 229. C'est pas jojo quand même]
