Généralement je n'appréhende pas les pavés mais lorsque
China Miéville est à la barre, la lecture nécessite temps et concentration.
J'avais déjà expérimenté la manière de l'auteur, avec difficultés pour "
Perdido Street Station" et dans la douleur avec "
Le Concile de Fer".
Je préfère couper court aux inévitables donneurs de leçons : non je ne suis pas maso !
Avec son style baroque et foisonnant
Miéville m'est harassant à la longue mais sa prodigieuse inventivité et sa capacité extraordinaire à échafauder des univers à la fois terre à terre et délirants l'emportent et je persiste à le lire.
Commenter  J’apprécie         142