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Critique de rizhomme


Il y a chez Céline Minard du Rabelais, du Lewis Carroll, du Nerval (ses contes)… et du Joyce. Lorsqu'elle se lâche, le style s'envole pour laisser place à une langue jubilatoire. La force du texte, très écrit, est paradoxalement son oralité. Une lecture à haute voix (une mise en bouche), voire une adaptation théâtrale (pourquoi pas une mise en scène?) devraient pouvoir en donner une mesure.
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