J'ai été attirée par le titre et la quatrième de couverture. D'une part, la mention d'
Edward Hopper, peintre que j'apprécie énormément, a attisé ma curiosité. D'autre part, les fêlures sont toujours un thème que j'aime parcourir…
Pourtant, je n'ai pas accroché à ce roman. Je dois même avouer que j'ai capitulé, pour différentes raisons : en premier lieu, certaines évocations m'ont surprise. Démarrer un roman avec des vers intestinaux et de la matière fécale est plutôt surprenant. Ensuite, le style : des phrases très courtes (je n'ai rien contre) avec des passages incessants à la ligne coupent la fluidité de la lecture (en tous les cas, de la mienne !). Enfin, l'histoire. Ou plutôt les histoires imbriquées. Et c'est à ce moment-là que cela se corse pour moi ! En toute honnêteté, je n'ai pas réussi à suivre (en résumé, je n'ai rien compris). J'ai abandonné à la fin de la première partie (P94/223). Et je cherche toujours le lien avec Hopper…
Merci à NetGalley pour l'envoi de ce livre.
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