Le Temple de l'aube et L'Ange en décomposition sont les dernier roman de Mishima en 1970, l'année de son suicide.
Dans la mer de la fertilité on parcourt l'existence d'un homme qui traverse des temps trouble et voit ses rêves fracassés de loin en loin.
Une vie qui conduit au désespoir et pourtant ce roman, le temple de l'aube est celui de Mishima qui m'a le plus remplis d'espoir.
La beauté simple du quotidien. Je n'ai lu qu'une traduction, mais j'ai sentis derrière celle-ci toute la poésie de la langue japonaise. Devinais pour la première fois que certains états d'âme ne peuvent être exprimés ou éprouvés que dans la langue de l'auteur.
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