Citations sur Les chroniques de Dani Mega O'Malley, tome 4 : Fièvre e.. (57)
Le passé était passé. Faire le ménage dans son paysage intérieur était un luxe réservé aux gens en sécurité. Et la sécurité, c’était un privilège qu’elle n’avait jamais connu.
Barrons avait raison.
Il y a une bête en moi.
Et elle est magnifique.
Nos batailles les plus décisives, nous les menons seuls.
Contre nous-mêmes.
Tu apprendras mes limites. En découvrant leur inexistence.
Le deuil était une plainte étouffée qui n'avait ni début ni fin, juste un interminable et insupportable milieu.
Vous êtes votre propre royaume. Protégez- le ou résignez- vous à le perdre.
Il m’embrassa comme si j’étais l’empire qu’il avait juré de protéger dût-il périr mille fois
Je tombe sur elle et je lui frappe la tête jusqu’à ce que son cerveau luise, humide, dans ses cheveux pleins de sang, puis je plante mes dents au creux de son cou et je commence mon repas.
Cet homme est sacré pour moi et le sera toujours. Il est mon soleil, ma lune et mes étoiles.
Au premier impact, son nez explose, sa mâchoire droite se fracture et ses yeux lui rentrent dans la tête. Au second impact, je sors ses deux mâchoire, de leur articulation et elle ne parle plus. Je la frappe encore et encore, faisant voler en éclats les os de ses orbites et de son front, l’aveuglant, lui fracassant le crâne, fou de rage.