Somb

Wahou cette claque!!! voilà un roman qu'on ouvre et qu'on referme 4h plus tard, le reste n'a plus aucune importance, il fallait le finir!!! J'ai été malmenée du début à la fin, on se dit, non c'est pas possible, mais si, c'est possible et finalement à la fin, tu tombes de ta chaise parce que ça, tu ne l'avais pas vu et bim, la claque!!!

L'histoire est hyper prenante, tordue, à l'image des personnages, Victor et ses démons intérieurs, sa relation avec Julia, ses rapports avec Jonas. On est face à un homme qui aide les autres, les pousse à se reconstruire, à affronter leurs démons et lui, vit avec les siens. C'est très fort et on s'attache beaucoup à Victor Caranne.

En fait, j'aurais plein de trucs à vous dire sur ce roman incroyable mais ponctuer toutes mes phrases de wahou, super, incroyable, génial etc..; ça va être pénible pour vous et pour moi.

Retenez que c'est véritablement un roman à découvrir et qu'il va vous foutre le C.. par terre!!!!


Lien : https://loeildesauron1900819..

J'ai vu beaucoup de bons avis au sujet de cet auteur et de ce premier récit, le second étant également visiblement très bon, j'ai donc emprunté le premier avant de lire Je suis le feu afin de ne pas me faire spolier le second tome.

J'ai suivi avec plaisir notre protagoniste Victor Caranne qui est psychologue à l'ile de Ré pour les prisons, nous naviguons comme souvent entre son passé et ce ce qui passe dans le présent avec les détenus, il va y avoir une enquête également sur un meurtre commis et Victor va figurer parmi les suspectes de celui-ci car il connait la victime.

J'ai aimé suivre ce personnage, même si j'admets au final que côté thriller ce n'est pas une grande nouveauté, mais le récit se lit rapidement avec des chapitres courts et la plume est agréable à suivre.

Un récit mi enquête, mi thriller psychologique ou les pages défilent rapidement mais sans grande originalité sur la fin car pour un petit récit comme celui-ci il est difficile que les personnages soient bien étoffés à mes yeux.

J'ai aimé également le fait que certains acteurs du récit titille Victor sur ses traumatismes passés également ou joue au psychologue avec lui.

J'ai eu un coup de ❤ pour le personnage de Victor Caranne, psychologue en milieu carcéral, motard, ami fidèle.
Il a vécu des moments difficiles, plus on avance dans l'histoire, plus son passé se révèle.
J'ai bien aimé aussi la plume de Max Monnehay, fluide et addictive.
Hâte de découvrir la suite des aventures de Victor.

Extraits :
" Mes menottes à moi s'appellent le secret médical. "

" Pour qu'il y ait perfection, il faut que l'humain soit absent de l'équation. "

" On ne guérit pas, Samia. On continue simplement de battre les jambes pour ne pas couler. "

💙Original et addictif


J'ai vraiment tout adoré dans ce livre. Non mais vraiment.

Déjà, même s'il y a un mort, même si on cherche qui la tué... l'approche est vraiment originale. Tout comme l'enquête. Enfin enquête... même là le mot n'est pas exact. Disons plutôt comme le déroulé des événements jusqu'à la résolution de l'intrigue... et je me suis faite retourner le cerveau ... je n'avais strictement rien vu arriver. Et pour cause ...

Côté personnages, on pourrait presque dire qu'on est dans un huis-clos. Oui, je sais, les termes ne vont pas ensemble de base, sauf la !!! Même si le personnage central est un psy, (certes le filon à déjà été utilisé plusieurs fois), tous les autres (soit disant) secondaires ont aussi une psychologie hyper détaillée, décortiquée et (surtout) utilisée !!! Ce qui est rare en fin de compte. Ce n'est qu'un des nombreux points où ce récit ne ressemble pas aux autres et se démarque totalement.

On pourrait aussi parler de ce style. Tellement loin de ce qu'on a l'habitude de lire. Presque androgyne. Bref, vif et factuel d'un côté, rempli de dénonciations, de sensibilité, de féminisme en même temps. Parfois les 2 dans la même phrase. C'est totalement croustillant et sérieux, profondément humain et cartésien, sensible et froid... mais le tout se marie magistralement. Il y a aussi beaucoup de pics, de références, d'humour etc, qui nous oblige à être concentré tout du long pour bien tour saisir. En tout cas ce style est vraiment original, propre à cette auteure et je n'en ai jamais lu d'identique... j'ai adoré.

�n conclusion, un thriller psychologique absolument captivant, ou je me suis laissée embarquer dès le départ, pour me faire retourner le cerveau à la fin. Ce style original est complètement addicitif, compliqué et tellement simple en même temps. Un pur moment de lecture qui m'a fait tout oublier tellement j'ai été embarquée dans l'intrigue... mais pas que.
Une totale réussite que j'ai adoré

Ce premier opus sur Victor Caranne est addictif.
De la première ligne à la dernière tout s'enchaîne sans trémolos et tout est clair.
Les révélations s'enchaînent et on a aussi une part de tendresse pour Victor que la mort de Julia a perturbé car oui psychologue dans la vie ne veut pas dire qu'il faut aussi s'oublier.
Je suis restée bouche bée de la fin que je croyais finie depuis quelques pages.

On peut retrouver Victor Caranne dans "Je suis en feu" et le troisième vient d'être achevé par Max.

Une très belle patte de louve que je ne peux que vous conseiller.

Mon mari m'avait conseillé la lecture de ce thriller persuadé que j'aimerai et ça a été le cas !

On suit Victor Caranne, psychologue dans la prison de l'île de Ré (dire qu'on est peut-être passé pas loin sans le savoir 😉 ). Notre héros semble torturé par son passé et seule Julia semble l'apaiser. Mais un meurtre va tout bouleverser.

Je mettrai en avant le personnage de Marcus qui est très attachant et un personnage secondaire important pour Victor. J'espère le revoir dans la suite.

De page en page, la liste des suspects s'allonge. A plusieurs pages de la fin, j'étais persuadée que tout était résolu, mais la fin m'a totalement surprise !

On sent que l'autrice s'est bien documenté sur la psychologie car son écriture est très pointue.
Lien : https://lesmotsdevirginie.wo..

J'aime les romans écrits à la première personne, car je me sens plus proche du personnage principal
J'aime le fait que ça se passe à la Rochelle où j'ai vécu de 13 à 23 ans, ça m'a ravivé des souvenirs d'ado
J'ai aimé le style de l'auteure, très bien écrit et j'ai beaucoup aimé les personnages, notamment Victor mais aussi Max qui est tellement attendrissant derrière son air dur
J'ai aimé l'intrigue bien ficelée même si personnellement je me doutais du final...je lis trop de livres de Sebastian fitzek 😅
En tout cas un bon petit polar bien sympa que je conseille vivement

Quelle joie et quel délice que de lire ce roman noir psychologique, une pépite qui joue avec nos nerfs autour de personnages complexes. le héros, psychologue carcéral, son meilleur ami dévasté par la mort de sa femme, cette femme avec qui Victor avait une liaison. Déjà, ça pose les bases de cette tension psychologique : un triangle amoureux, la question de l'amitié, tout cela perturbé par la mort violente de celle qui les rassemble et les sépare à la fois.

Evidemment, quoi de mieux pour un polar psychologique que d'avoir comme personnage principal un psychologue ? Un double-jeu subtil et passionnant, qui oscille entre son état psychologique suite à la mort de la femme qu'il aimait et qu'il ne pouvait pas avoir, et son métier de psychologue carcéral confronté à la violence des détenus. Au final, l'intérêt n'est pas tant dans l'enquête que dans tout ce que ça soulève autour de lui, les dynamiques relationnelles bouleversées, les sentiments de culpabilité, de deuil.

Mais ce n'est pas parce que l'enquête n'est pas le point central que l'intrigue est délaissée pour autant. A travers tous ces bouleversements psychologiques se dessine la résolution de la mort de cette femme, jusqu'au dénouement final surprenant (en tout cas, pour moi). Car encore une fois, c'est l'aspect psychologique qui vient expliquer et éclairer l'affaire.

Bref, un polar surprenant mais qui m'a tout de suite mise dans l'ambiance, j'ai été entraînée et j'ai dévoré en quelques jours seulement les quelques 300 pages de Somb !

Somb de Max Monnehay est un très bon thriller psychologique, auteure que je ne connaissais pas mais belle découverte !
Victor, psychologue dans le milieu carcéral, rongé par un drame familiale, va être bouleversé lorsque le corps de Julia, l'épouse de son meilleur ami, va être retrouvée sur une plage, assassinée.
C'est une histoire avec une intrigue passionnante qui se passe entre la Rochelle et l'ile de Ré. Les personnages sont intéressants et la fin vraiment inimaginable !

SOMB ! Heureusement qu'une manchette indiquait "Prix des lecteurs meilleur polar", sinon je n'aurais jamais acheté ce livre. Jonas Somb est le meilleur ami du narrateur, et un personnage central du roman. On comprend pourquoi ce titre SOMB est aussi énigmatique ! Ceci étant ce titre n'a rien de prometteur. Après la lecture, je me suis demandé si Somb pouvait avoir un autre sens que le nom de famille de Jonas, qui n'est appelé que Jonas. D'après le moteur de recherche sur internet, il s'agit d'un petit village du Sénégal, mais SOMB c'est aussi l'acronyme de "Stade Olympique Maritime Boulonnais". Ceci n'en dit rien du choix de ce titre ! Peut-être Max est-il de Boulogne, un fan du Stade Boulonnais ? Non il faut creuser l'enquête, car Max est une dame née Amélie Monnehay, originaire de Beauvais ! Ce titre n'aurait donc de sens que pour l'auteur, mais puisque l'obstacle du titre est passé, qu'en est-il de la manchette, accrocheuse celle-là ? Au risque d'être dissonant, je me dis que les lecteurs de polars sont bien démunis ! Certes l'intrigue est bien ficelée. On prend un réel plaisir à poursuivre la lecture et on éprouve un regret de l'interrompre, si besoin. Et le style ? Force est de constater qu'il n'y a pas un style d'écriture d'un auteur féminin ou masculin. Car ne connaissant pas l'auteur, je me suis dit que le style était typiquement masculin, un langage souvent mec de la zup ou mauvais garçon, si je peux me permettre cette caricature ! Eh bien non, ce rendu masculin est celui d'une dame et une surprise une fois l'auteur connu. Ce résultat bien maîtrisé est donc un choix délibéré de l'auteur. En revanche, je ne suis pas un fan du langage fleuri que l'on attribue aux romans policiers. Je me demande s'il est nécessaire d'être péjoratif pour interroger un suspect ? Sinon faut-il adopter une certaine vulgarité pour produire un bon roman policier ? Les inspecteurs de police sont-ils formatés pour emprunter le langage des loubards ?
Alors je serais plus proche du langage des magistrats que celui fleuri du roman policier. C'est là le plus important grief à cette oeuvre. Un roman policier n'est-il pas d'abord une oeuvre littéraire et à ce titre avec des exigences de style ? Certains vont m'opposer que je démolis, une construction qui a demandé beaucoup de soins pour restituer l'atmosphère d'une prison et d'un commissariat de police. Un appauvrissement de la langue, du style sont-ils justifiés pour la finalité, un polar ?