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Citations sur La saga d'Anne, tome 5 : Anne dans sa maison de rêve (51)

Se défiler face à ses responsabilités, c’est la malédiction de nos vies modernes : le secret de tous les conflits et de toutes les insatisfactions qui bouillonnent dans le monde.
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Notre bibliothèque n'est pas très fournie, mais chaque livre est un ami.
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« Notre bibliothèque n'est pas très fournie, dit Anne, mais chaque livre est un ami. Nous avons sélectionné nos ouvrages au fil des ans, ici et là, n'en achetant jamais un avant de l'avoir d'abord lu et de savoir qu'il appartient au clan des bons. »
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« Vous ne connaissez aucun bon mari, Mademoiselle Bryant ?
— Oh, si, des tas... là-bas, répondit-elle en désignant par la fenêtre ouverte le petit cimetière de l'église, de l'autre côté de la baie. »
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Seule sur le sable, Anne s’abandonna à l’inquiétant charme de la nuit. Il faisait chaud pour un mois de septembre, et la fin d’après-midi avait été brumeuse. Mais une pleine lune avait en partie dissipé le brouillard et transformé la baie, le golfe et les rivages environnants en un univers étrange, fantastique et irréel de pâle brume argentée, à travers laquelle toute chose prenait une allure fantomatique. La goélette noire du Capitaine Josiah Crawford naviguant dans le canal, chargée de pommes de terre pour les ports de Nez-Bleus, était un bateau fantôme en partance pour se lointaines terres inexplorées, s’évanouissant toujours, impossibles à atteindre. L’appel de mouettes invisibles, au-dessus de sa tête, était les cris des âmes de marins condamnés. Les petites boucles d’écume soufflées sur le sable étaient des figures elfiques, refluant de cavernes sous-marines. Les grandes dunes aux épaules rondes étaient les géants endormis de quelque conte nordique. Les lumières qui scintillaient pâlement depuis le port étaient les phares illusoires d’une terre féerique. Anne s’abandonna a une centaine de rêveries en se promenant à travers les brumes. C’était délicieux, romantique, mystérieux, d’errer là, seule, sur cette rive enchantée.
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Les appels d'invisibles mouettes dans le ciel étaient les pleurs des marins défunts. Les petites boucles d'écumes que le vent soufflait sur le sable ressemblaient à des elfes minuscules jaillissant des cavernes de la mer. Les grosses dunes aux épaules rondes faisaient penser aux géants endormis d'une vieille légende nordique. Les lumières qui clignotaient faiblement sur le port étaient les signes trompeurs venant d'une côte du pays des fées. Anne s'amusait en imaginant toutes ces choses pendant qu'elle errait dans le brouillard. C'était délicieux, romantique, mystérieux de se promener toute seule sur cette plage enchantée.
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Mais ce soir là, nos amoureux ne pensèrent qu'à la joie et jamais aux chagrins. Car le lendemain était le jour de leur mariage, et leur maison de rêve les attendait sur le brumeux rivage ocre de la baie de Four Winds.
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Ça ne sert à rien de prendre un chien et d'aboyer soi-même.
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Aucun intérêt d'écouter l'opinion d'un chat sur un chien.
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Le secret de la bonne écriture, c’est de savoir quand s’arrêter.
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