Oh, Susan, ça n'existe pas un jour ordinaire. Chacun possède quelque chose que les autres n'ont pas.
Il fallait se détacher de l'ancien et accueillir le neuf dans son coeur, apprendre à l'aimer puis s'en détacher à son tour. Le printemps pour ravissant qu'il fût, devait céder la place à l'été, et celui-ci se perdre dans l'automne. Naissance, mariage, mort.
Tic-tac… tic-tac… tic-tac… faisait dans le couloir l’horloge à balancier qu’on avait ramenée à Ingleside à la mort de Grand-père Blythe. Une vieille horloge, lente et posée datant de l’époque où le temps existait encore.
Il ne fait pas noir, c’est le crépuscule. Il y a eu un mariage d’amour entre le jour et la nuit et de cette union le fruit est d’une extrême beauté.