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Critique de fnitter


Le dernier épisode d'une trilogie initiée par Carbone modifié et poursuivie par Anges déchus.
Un univers très riche et il est, à mon sens, impératif de lire le premier tome et fortement recommandé d'en faire autant du second, si l'on veut pleinement apprécier cet ultime opus (la conscience de pile corticale et l'univers martien sont ici abordés comme connu).

L'auteur, comme l'éditeur, disent de cette oeuvre que c'est l'ultime roman de la licence Takeshi Kovacs, mais si l'envie prenait l'auteur de reprendre son cycle, la fin décrite lui laisserait toute latitude pour le faire.

On retrouve une présentation et explication du Quellisme (que l'on retrouve dans les deux premiers épisodes sans vraiment l'aborder en profondeur) et une critique acerbe d'une religion "fictive" qui asservit les femmes, les assujettit à leur mari, les oblige à se voiler et dans laquelle les "barbus" peuvent prononcer une sentence de mort pour une coupe de cheveux.
On aborde la jeunesse de Takeshi Kovacs.

Le style est très moderne, l'auteur utilise un vocabulaire très vivant, parsemé de termes cyber, rapide, précis, ç'a percute. le livre est un mélange d'action, de sf militaire, de sexe torride (3 épisodes sur 650 pages) et de technologie.

Par contre, le début (voire le milieu) est peu fouillis et on ne sait pas vraiment qui est qui, qui fait quoi où et comment; (Pour l'exemple, la guerre déclarée par Takeshi Kovacs aux extrémistes ne trouvera son explication qu'aux alentours de la page 370), mais au final tout trouve sa justification.

Bref, un excellent moment de sf.
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