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Critique de Missnefer13500
Toute la magie des contes de Noël est là
Une superbe couverture très attractive, un titre qui dit tout et rien, à la Pancol, enfin rien qui ne laisse présager que ce roman est un tome de la collection Harlequin. Série romances , considérée comme assez mièvre et gnangnan. Oui mais il en faut pour tous les gouts et vaut mieux un bon Harlequin qu'un mauvais polar.
J'ai été surprise, par cette agréable lecture et la découverte de cet auteure, dont le style est fluide , agréable , poétique même dans ces petites scènes de sexe dont elle en a saupoudré l'histoire.
Une romance simple, un Once upon the time avec un happy end comme je les aime. Ben y a pas de mal à se faire du bien en rêvant à de beaux princes charmants, sortir de cette triste réalité, dans laquelle on se débat au quotidien, chômage, perte du pouvoir d'achat etc..
Exactement le genre de roman qu'il faudrait lire pour Noël emmitouflés sous la couette, une bonne tasse de chocolat à sa portée , en regardant tomber la neige.
C'est presque ce que j'ai fait, juste que le Mistral soufflait à tout va et le ciel était d'un bleu éclatant. Pour tout vous avouer, l'auteure m'a presque donné l' envie d'aimer les sports d'hiver , moi l'inconditionnelle de farniente au soleil, plutôt genre affalée sur un transat.
Car vraiment , notre auteur est talentueuse , pour nous entrainer dans son monde magique de Snow Crystal.
Paysages féeriques, personnalités attachantes, tout est un peu irréel, le pays du père Noël, trop beau, oui mais c'est le but.
Et çà fonctionne vraiment, pour nous et pour Kayla. On ne peut que se laisser absorber par toute cette douceur.
D'un coté le clan O' Neil, famille unie avec son esprit de solidarité ,d'amour de partage, attachée aux valeurs et traditions familiales.
Une famille qui a aussi connu des fractures, la mort du père, une entreprise familiale depuis des génération en danger, un frère sportif de haut niveau qui s'est vu devoir abandonner la compétition, sa gamine dont la mère ne veut plus, un ainé résistant aux changements.
Et de l' autre Keyla la citadine , qui fuit comme la peste tout ce qui lui ressemble, trop blessée par son propre vécu. Keyla qui ne fait confiance qu'en elle même, qui a construit des murs tellement infranchissables autour d'elle, qui se berce dans l'illusion de vivre à travers son travail, une carriériste , qui n'envisage même pas de vie sociale, encore moins pouvoir aimer quelqu'un.
Des personnes très dissemblables, tant est si bien qu'on se demande comment l'auteur va faire prendre la mayonnaise.
Elle y parvient parfaitement peut être en suivant les conseils avisés d' Elise
:)
Sarah Morgan travaille bien ses personnages, tous des traits de caractères particuliers , chaque frère peut être le héros d'une aventure propre
Cela sera t il le cas ?
En résumé j'ai été ravie de découvrir toujours grâce au cadre d'échanges de livre un nouvel auteur et je me suis laissée très facilement emporter dans ce merveilleux conte contemporain
Nous conservons parfois toujours en nous notre âme de petite fille, en tout cas il me semble que j'ai l'ai toujours en moi .
Une superbe couverture très attractive, un titre qui dit tout et rien, à la Pancol, enfin rien qui ne laisse présager que ce roman est un tome de la collection Harlequin. Série romances , considérée comme assez mièvre et gnangnan. Oui mais il en faut pour tous les gouts et vaut mieux un bon Harlequin qu'un mauvais polar.
J'ai été surprise, par cette agréable lecture et la découverte de cet auteure, dont le style est fluide , agréable , poétique même dans ces petites scènes de sexe dont elle en a saupoudré l'histoire.
Une romance simple, un Once upon the time avec un happy end comme je les aime. Ben y a pas de mal à se faire du bien en rêvant à de beaux princes charmants, sortir de cette triste réalité, dans laquelle on se débat au quotidien, chômage, perte du pouvoir d'achat etc..
Exactement le genre de roman qu'il faudrait lire pour Noël emmitouflés sous la couette, une bonne tasse de chocolat à sa portée , en regardant tomber la neige.
C'est presque ce que j'ai fait, juste que le Mistral soufflait à tout va et le ciel était d'un bleu éclatant. Pour tout vous avouer, l'auteure m'a presque donné l' envie d'aimer les sports d'hiver , moi l'inconditionnelle de farniente au soleil, plutôt genre affalée sur un transat.
Car vraiment , notre auteur est talentueuse , pour nous entrainer dans son monde magique de Snow Crystal.
Paysages féeriques, personnalités attachantes, tout est un peu irréel, le pays du père Noël, trop beau, oui mais c'est le but.
Et çà fonctionne vraiment, pour nous et pour Kayla. On ne peut que se laisser absorber par toute cette douceur.
D'un coté le clan O' Neil, famille unie avec son esprit de solidarité ,d'amour de partage, attachée aux valeurs et traditions familiales.
Une famille qui a aussi connu des fractures, la mort du père, une entreprise familiale depuis des génération en danger, un frère sportif de haut niveau qui s'est vu devoir abandonner la compétition, sa gamine dont la mère ne veut plus, un ainé résistant aux changements.
Et de l' autre Keyla la citadine , qui fuit comme la peste tout ce qui lui ressemble, trop blessée par son propre vécu. Keyla qui ne fait confiance qu'en elle même, qui a construit des murs tellement infranchissables autour d'elle, qui se berce dans l'illusion de vivre à travers son travail, une carriériste , qui n'envisage même pas de vie sociale, encore moins pouvoir aimer quelqu'un.
Des personnes très dissemblables, tant est si bien qu'on se demande comment l'auteur va faire prendre la mayonnaise.
Elle y parvient parfaitement peut être en suivant les conseils avisés d' Elise
:)
Sarah Morgan travaille bien ses personnages, tous des traits de caractères particuliers , chaque frère peut être le héros d'une aventure propre
Cela sera t il le cas ?
En résumé j'ai été ravie de découvrir toujours grâce au cadre d'échanges de livre un nouvel auteur et je me suis laissée très facilement emporter dans ce merveilleux conte contemporain
Nous conservons parfois toujours en nous notre âme de petite fille, en tout cas il me semble que j'ai l'ai toujours en moi .
