Morvan arrive admirablement à nous gaver des plus atroces exactions et viols perpétrés par l'armée française en 1850 en Algérie puis en Indochine.
Seul l'auvergnat Gabriel est choqué, rentre brièvement au pays, oublie la mal-nommée Douce p
our s'en aller assister à l'extinction des indiens Navajos.
Contrairement à
l'Escadron blanc de
Joseph Peyré, je n'ai ici éprouvé aucune empathie pour les personnages de ce roman trop construit, racoleur, sans surprise vu que tout dénouement heureux est exclu.
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