>
Critique de Elby
J'ai mis du temps à faire cette critique parce que je me rends compte que je ne suis pas forcément à l'aise pour analyser convenablement la littérature jeunesse.
J'ai beau me dire : c'est à partir de 10 ans cocotte, n'en attends pas la même chose que pour du GoT ! J'y peux rien, mes vieux réflexes prennent le dessus, et je trouve le moyen de bugger sur un détail qui ne m'a pas lâché de la lecture. Une chose toute bête, vous allez voir, toute mignonette, toute insignifiante et pourtant, elle est restée collée à ma rétine, accrochée à ma cervelle, et m'a empêché de partir à l'aventure avec nos jeunes héros.
Parce que nos héros ont le droit d'accomplir une quête, de partir baguenauder à travers le monde, de résoudre des énigmes que personne avant eux n'a réussi (et pourtant, le diable sait qu'ils ont été nombreux à s'y essayer !), ils ont le droit de découvrir le monde, l'univers, de côtoyer la magie, de vivre mille et une épreuves, de grandir, de s'émerveiller, de se découvrir, à travers les émois et la peine, de pleurer, de rire, de rêver... Là-dessus, il n'y a rien à redire, c'est au contraire ce qu'on attend d'un pareil conte...
Mais alors que le héros (de dix douze ans, pardon, je ne sais plus, jeune quoi !) tienne une boutique dans son village sans que ça ne chagrine personne, orphelin ou pas, désolée, mais ça m'a fait bugger.
J'ai beau me dire : c'est à partir de 10 ans cocotte, n'en attends pas la même chose que pour du GoT ! J'y peux rien, mes vieux réflexes prennent le dessus, et je trouve le moyen de bugger sur un détail qui ne m'a pas lâché de la lecture. Une chose toute bête, vous allez voir, toute mignonette, toute insignifiante et pourtant, elle est restée collée à ma rétine, accrochée à ma cervelle, et m'a empêché de partir à l'aventure avec nos jeunes héros.
Parce que nos héros ont le droit d'accomplir une quête, de partir baguenauder à travers le monde, de résoudre des énigmes que personne avant eux n'a réussi (et pourtant, le diable sait qu'ils ont été nombreux à s'y essayer !), ils ont le droit de découvrir le monde, l'univers, de côtoyer la magie, de vivre mille et une épreuves, de grandir, de s'émerveiller, de se découvrir, à travers les émois et la peine, de pleurer, de rire, de rêver... Là-dessus, il n'y a rien à redire, c'est au contraire ce qu'on attend d'un pareil conte...
Mais alors que le héros (de dix douze ans, pardon, je ne sais plus, jeune quoi !) tienne une boutique dans son village sans que ça ne chagrine personne, orphelin ou pas, désolée, mais ça m'a fait bugger.
