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Critique de Amandinegrana
Je poursuis ma découverte des écrits d'Anne-Sophie Nédélec, que je remercie, avec ce court récit de voyage qui est un véritable aller-retour pour Zanzibar. Je suis résolument conquise par sa plume vive et fine, au style élégant et bien senti dans un genre très différent des deux romans lus précédemment.
Christophe, Vanessa et leurs deux enfants s'offrent un séjour au pays des Masaïs, l'occasion de casser la routine et de resserrer les liens familiaux. D' autant qu'avec Morgane, 14 ans, les relations sont loin d'être simples. Comme eux, le lecteur s'émerveille des paysages sauvages, des animaux et de l'eau turquoise tant les descriptions sont vivantes et immersives.
Et comme eux il est confronté au choc culturel, à la misère qui côtoie les hôtels de luxe et au mode de vie occidental qui ne laisse que rarement l'occasion de profiter de l'instant présent.
Les personnages sont très crédibles, Monsieur et Madame Tout le monde quand on a déjà voyagé, on peut vraiment s'identifier à eux, à leur dépaysement, à leurs craintes et à leurs contradictions.
C'est cette dichotomie qui m'a le plus frappée parce que je m'y suis complètement retrouvée. Certes le roman invite au voyage mais il illustre aussi le consumérisme et la futilité des touristes que nous sommes face à une misère qui nous dépasse.
Une lecture très intéressante, qui fait réfléchir autant qu'elle fait rêver, mais qui laisse un petit goût doux-amer. Une fois de plus l'auteure réussit à me marquer même si j'adhère davantage à ces ouvrages historiques.
Christophe, Vanessa et leurs deux enfants s'offrent un séjour au pays des Masaïs, l'occasion de casser la routine et de resserrer les liens familiaux. D' autant qu'avec Morgane, 14 ans, les relations sont loin d'être simples. Comme eux, le lecteur s'émerveille des paysages sauvages, des animaux et de l'eau turquoise tant les descriptions sont vivantes et immersives.
Et comme eux il est confronté au choc culturel, à la misère qui côtoie les hôtels de luxe et au mode de vie occidental qui ne laisse que rarement l'occasion de profiter de l'instant présent.
Les personnages sont très crédibles, Monsieur et Madame Tout le monde quand on a déjà voyagé, on peut vraiment s'identifier à eux, à leur dépaysement, à leurs craintes et à leurs contradictions.
C'est cette dichotomie qui m'a le plus frappée parce que je m'y suis complètement retrouvée. Certes le roman invite au voyage mais il illustre aussi le consumérisme et la futilité des touristes que nous sommes face à une misère qui nous dépasse.
Une lecture très intéressante, qui fait réfléchir autant qu'elle fait rêver, mais qui laisse un petit goût doux-amer. Une fois de plus l'auteure réussit à me marquer même si j'adhère davantage à ces ouvrages historiques.
