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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Disparue dans la nature !
Carl Nixon excellent écrivain de polars littéraires néo-zélandais , dès les premières pages raconte comment une famille anglaise entière disparaît dans la nature suite à un accident tout bête . C'est après qu'arrive le suspens, alternant les jours, les mois et années qui suivent l'accident dans le bush néo-zélandais et trente ans après, à Londres, alors qu'on découvre et rapatrie le squelette d'un des enfants, dont la mort remonte à quatre ans après l'accident ….

Dans ce faux-polar comme son précédent livre lu, le peu que j'aimerais vous dire de l'intrigue est que trois des enfants survivront à l'accident , Katherine, Maurice et Tommy. Recueillis par un couple étrange, l'auteur va nous immerger dans leur lutte et leur acharnement, chacun selon son âge, son caractère et sa condition physique pour retrouver leurs marques dans une nature et milieu hostile et sauvage, après leur dislocation inattendue, leurs arrachement physique et psychologique de toutes leurs idées de foyer, famille et d'individualité totalement chamboulées. Chaque enfant trouvera sa voie en bien ou en mal , totalement transformé.

Le titre original de ce roman « Tally Stick » ( Bâton de comptage ) fait référence aux dettes et obligations que nous devons aux autres. Dans un sens réel, c'est là que le livre développe sa puissance à travers Katherine et Suzanne sa tante dont vous découvrirez le rôle dans le texte . Que devons-nous aux vivants, aux morts, à ceux qui prennent soin de nous et à ceux qui nous abritent mais qui peuvent quand même nous faire du mal ? Et que devons nous à nous-mêmes ? Et jusqu'où pousser ces dettes et obligations ?

Un très beau roman poignant teinté de réalisme magique et enrichi de somptueuses descriptions de la nature qui m'a donnée grande envie de découvrir la Nouvelle Zélande.


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Avril 1978. Venue tout droit d'Angleterre, la famille Chamberlain décide, pour des raisons professionnelles, de s'installer en Nouvelle-Zélande, à Wellington. Avant que John ne prenne ses nouvelles fonctions, la famille profite de visiter le pays, au gré de ses humeurs. Mais ce soir-là, une pluie battante et incessante a rendu la route glissante et dangereuse au point que la voiture dérive, devient incontrôlable, traverse l'accotement puis la végétation et finit dans la rivière. S'il devine la peur dans le regard de Julia, son épouse, John espère de tout coeur que ses quatre enfants dorment encore à poings fermés... C'est Katherine qui reprend difficilement conscience la première, confuse, perdue parmi tous ces bruits qu'elle peine à identifier. C'est la voix de Maurice, son frère aîné, qui la réveille totalement et lui fait comprendre qu'ils viennent d'avoir un accident de voiture...
Novembre 2010. Suzanne reçoit un appel de l'attachée au Haut Commissariat de la Nouvelle-Zélande l'informant qu'un étudiant a découvert, il y a une semaine, des restes humains. Après analyses, il s'avère que ceux-ci appartiennent à son neveu, Maurice Chamberlain. Si depuis toutes ces années, Suzanne a fait le deuil de la famille de sa soeur, une nouvelle inattendue va cependant la bouleverser, Maurice avait 17 ou 18 ans au moment de sa mort et aurait donc survécu 4 années après leur disparition...

Une famille qui disparaît soudainement et malgré les recherches, aussi bien de la police locale que de Suzanne, la soeur de Julia, personne ne la retrouve. Si, plus de 30 ans plus tard, cette dernière a enfin des nouvelles de Maurice, fussent-elles mauvaises, beaucoup de questions la tiraillent alors ? Était-il le seul survivant ? Où était-il et qu'a-t-il fait pendant les 4 années séparant sa disparition de sa mort ? En alternant son récit entre passé et présent, Carl Nixon déroule peu à peu les conditions de vie des trois enfants survivants, Maurice, Katherine et Tommy, et dévoile tout ce que Suzanne a entrepris pour tenter de retrouver les membres de sa famille, perdant, inévitablement, espoir au fil des ans. La survie de la fratrie est quant à elle surprenante, parfois déroutante, même si elle fait montre d'un courage et d'une solidarité à toute épreuve. Si l'on connaît dès le début la fin tragique de Maurice, l'on s'en vient à espérer que Katherine et Tommy auront connu un sort meilleur d'autant que, peu à peu, les recherches de Suzanne se peaufinent. Si Carl Nixon dose savamment les rebondissements et les coups du sort, s'il travaille au corps ses personnages, il réussit aussi à nous plonger dans une nature sauvage, parfois hostile, mais toujours fascinante, et excelle dans la description de la faune et de la flore.
Un roman captivant et impitoyable sur la résilience et les rapports humains...

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Le hasard d'une conférence sur le roman noir en Nouvelle Zélande m'a donné envie de plonger dans un roman de l'un de ses meilleurs représentants contemporains : Carl Nixon.

Une lecture qui vous prend aux tripes et nous fait partager le quotidien de trois jeunes frappés par le destin. Avril 1978, Maurice,Katherine et Tommy Chamberlain ont survécu à un terrible accident de voiture alors que leur famille, tout juste débarquée d'Angleterre, était en pleine excursion à travers la Nouvelle Zélande où le père venait de décrocher un nouveau job. Leurs parents et la petite dernière ont eu beaucoup moins de chance. Nos trois ados, habitués à la vie londonienne, vont devoir apprendre la débrouille en milieu hostile, se trouver un abri contre le froid et l'humidité ambiante tout en économisant la maigre nourriture qu'ils ont pu sauver. Katherine va devoir prendre les commandes de la petite troupe alors que Maurice est gravement blessé à la jambe et que son petit frère semble avoir perdu la boule.
Leur seul chance de ne pas mourir de faim à court terme réside maintenant dans le fait qu'ils soient découverts par des autochtones vivants à proximité ou que leur tante Suzanne restée en Angleterre , s'inquiétant de ne plus avoir de nouvelles, se lance à leur recherche. Qui sait avec un peu de chance..

L'auteur néo-zélandais laisse durer le suspens mais pas nécessairement celui auquel on peut penser d'entrée de jeu. Il alterne habilement entre les chapitres consacrés à l'existence des trois jeunes dans ce milieu sauvage où la nature semble avoir repris ses droits loin de toute civilisation et ceux où Suzanne déploie sans relâche ses efforts pour retrouver la moindre trace de la famille Chamberlain.
On se retrouve peu à peu absorbé par la quête de Suzanne et on partage avec elle tous ses regrets comme son impuissance alors même que, quelque part dans ce bush souvent infranchissable, trois gamins découvrent malgré eux la noirceur du monde et de certains de ses rejetons. Comment y échapper quand la force et la violence sont contre vous ? Faut-il céder ou tenter de s'échapper ? Des décisions difficiles à prendre alors que le sort semble s'acharner et que personne ne vous a préparé à de telles situations.
Un roman puissamment charpenté grâce à la force de son récit et par le relief de ses personnages. Un roman noir mais qui sait malgré tout nous offrir quelques belles éclaircies à travers notamment le personnage de Katherine qui semble avoir trouver sa place non loin de cette falaise du bout du monde.


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J'vais me la jouer comme chez le libraire, sans pitch, et claquer ce billet dans l'intuition.

L'intrigue est franche et poignante, de celles qui te saisissent par le coude et t'emportent sans te laisser le temps de brailler un peu à la façon de la maréchaussée qui chope le sale gosse qu'a usé du lance-pierre sur l'magasin de poterie.

Pas eu le temps de niaiser en Nouvelle-Zélande à l'époque..Enfin si on à tous le temps, c'est juste les priorités qu'on lui attribue qui font qu'on a du temps ou pas pour une chose ou une autre mais je m'égare. Ayant trainé mes guêtres en Tasmanie j'ai retrouvé des sensations et souvenirs précis en lisant ce bouquin ce qui fait que j'ai été largement servi niveau immersion dans le décor, nature sauvage ou la forêt tropicale labyrinthique à ce trait aussi envoutant que déboussolant. Ce genre de routes à travers la forêt dense ou la trace de goudron à travers les arbres est la seule concession accordée à l'homme.

L'écriture est prenante, simple, suffisante, débarrassée de chichis surnuméraires et focalise donc le lecteur sur le pitch et un casting convaincant. Pour faire mon vieux bougon chipoteur j'pourrais râler que certains personnages tertiaires sont un peu superflus mais finalement ils viennent donner un fondement solide à un personnage pilier d'un des arcs narratifs et l'usage reste mesuré donc "ça fait la job" comme disent les amis queb'.

L'oscillation entre flashbacks et flashforward est dosée et encore une fois l'habileté dans l'usage ajoute ce qu'il faut de piment pour maintenir la sécrétion d'endorphine mêlant plaisir et addiction.
Et puis comme tout ce qui monte doit redescendre, j'ai goûté avec beaucoup de plaisir à cette fin aussi douce qu'amère, cerise sur le bateau magnifiant le bel ouvrage.

Je referme et repose ce bouquin avec une nostalgie mêlée de douceur de plaisir et de fatalité, alchimie d'ingrédients qui, bien mixés, ont une saveur crépitante.


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Christchurch, en Nouvelle-Zélande, peut se targuer de posséder parmi ses habitants (ils y sont nés aussi) deux des meilleurs auteurs de roman noir contemporains, Paul Cleave et Carl Nixon. Peut-être le soir, à la veillée, s'échangent-ils quelques idées sur leur prochain thriller à paraître, qui sait ? Nixon n'est pas encore aussi connu en France que Cleave mais cela pourrait (mériterait) de changer avec la parution d'Une falaise au bout du monde, son dernier livre, captivant de bout en bout, en particulier pour sa maîtrise parfaite de plusieurs temporalités. le roman se déroule pour la plus grande partie près de la côte ouest de l'île du sud de la Nouvelle-Zélande, soit un des endroits les plus inhospitaliers et les moins touristiques du pays. En 1978, une famille anglaise y disparait soudain sans laisser de traces ; plus de 40 ans plus tard, les os de l'un de ses membres, le fils aîné, sont découverts. Que s'est-il donc passé ? Carl Nixon nous révèle d'emblée une partie du mystère mais celui-ci ne sera vraiment levé qu'à la toute dernière ligne d'Une falaise au bout du monde. Entre temps, l'auteur va s'amuser à nous transporter d'une époque à une autre, de Londres au bush néo-zélandais, nous obligeant à tourner les pages avec fébrilité. Une histoire solide et cruelle, profondément ancrée sur son territoire, qui parle de survie, de résilience, d'adaptation et de deuil, rehaussée par un style en apparence simple et redoutablement efficace, qui installe parfois une atmosphère gothique et perturbante. le plus impressionnant est le contrôle total du romancier sur la narration et la psychologie de ses personnages, confrontés à la peur, la résignation ou à l'espoir. du beau travail.

Un grand merci aux Editions de l'Aube pour l'envoi de ce livre.
Lien : https://cin-phile-m-----tait..
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En 1978, une famille anglaise, les Chamberlain, part s'installer en Nouvelle-Zélande. Un accident le long d'une route tortueuse de la côte ouest fait plonger leur voiture du haut d'une falaise. Il sera fatal aux parents et au plus jeune des enfants. Seuls les trois aînés s'en sortent, blessés et traumatisés, mais poussés par instinct à survivre. Katherine, douze ans, est particulièrement solide et commence à organiser leur abri pour quelques heures ou jours, en attendant de voir les secours arriver. Si ce n'est que l'endroit est vraiment isolé, et de plus, personne n'attend la famille avant une quinzaine de jours, à la date où le père devait commencer à travailler…
Un chapitre suivant permet de se placer du côté de Suzanne, la soeur de Julia, la mère disparue. Trente ans après la disparition de toute la famille, elle n'est pas encore résignée, lorsqu'elle est contactée par des services de police qui lui affirment que des ossements appartenants à son neveu Maurice ont été retrouvés. Mais d'un Maurice âgé de trois ou quatre ans de plus que lors de l'accident. Il aurait donc survécu ? Mais où et comment ? le roman revient alors sur les recherches que Suzanne a mené lors de plusieurs séjours en Nouvelle-Zélande, en alternant avec ce qu'il advient en 1978 des enfants Chamberlain.

J'ai commencé ce roman sur une erreur d'appréciation, presque une erreur de casting : sans doute trompée par la photo de couverture, j'étais persuadée qu'il s'agissait d'un récit, d'un témoignage sur une disparition et les recherches qui l'entouraient… et voilà qu'au bout de quelques pages, l'évidence m'a sauté aux yeux, il s'agissait bel et bien d'un roman, roman policier ou noir, cela restait à définir.
Restent que les prémices du roman ressemblent tout de même à une enquête, notamment les chapitres où Suzanne voyage à plusieurs reprises en Nouvelle-Zélande, inlassablement, à la recherche de traces de la famille de sa soeur.
L'auteur néo-zélandais excelle à décrire la faune et la flore de son pays. Ce que j'ai aimé au cours de cette lecture, c'est surtout le dépaysement, la découverte d'une nature préservée et sauvage, le thème de la survie, du moins au début du roman, puisque après, cette thématique évolue vers autre chose, mais je ne veux pas trop en dévoiler ici. Je pense que ce roman s'apprécie sans trop en savoir à son sujet. Avec un style plus efficace que très remarquable, il constitue une parfaite lecture d'été, bien accaparante, comme il se doit.
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1978 : Quelque part dans un endroit pratiquement désert de Nouvelle-Zélande, une famille disparait mystérieusement.
Il s'agit des Chamberlain qui arrivaient de Londres, John le père qui venait d'obtenir un poste à Wellington, Julia son épouse, et leurs quatre enfants, Maurice, Katerine, Tommy et Emma leur bébé.
Malgré toutes les recherches menées notamment par Suzanne la soeur de Julia qui s'est rendue plusieurs fois en Nouvelle-Zélande, il a été impossible de retrouver leur trace.
2010, 32 ans plus tard, Suzanne reçoit un appel téléphonique des autorités néo-zélandaises.
Un squelette a été retrouvé, et l'identification est formelle, il s'agit de celui de Maurice.
Mais cette découverte va apporter plus de questions que de réponses.
Maurice avait 13 ans lors de sa disparition, et le légiste qui a examiné son squelette est certain de lui, lors de son décès il devait avoir 17 ou 18 ans.
Ce qui signifie qu'il a vécu plusieurs années encore après sa disparition.
Mais qu'est-il réellement arrivé à la famille, et pourquoi Maurice aurait-il pu vivre si longtemps sans que personne ne le sache, et où sont les autres membres de la famille ?
Les réponses à ces questions, l'auteur les livre au lecteur au fur et à mesure de son récit, alternant les chapitres entre la famille Chamberlain, les recherches faites par Suzanne en Nouvelle-Zélande dans les années qui ont suivi leur disparition, et les évènements de 2010 après la découverte des ossements de Maurice.
Un très beau roman, dans lequel la nature sauvage de la Nouvelle-Zélande joue un rôle primordial, et je ne vous dirais rien de l'état d'esprit des protagonistes au risque de vous révéler le coeur de l'énigme.
Sachez seulement que le titre anglais du roman est « Tally stick », qui est en fait un bâton que les Maoris utilisent pour compter la dette d'une personne envers une autre, chaque encoche dans le bâton représentant un dû, et que parmi les divers objets retrouvés autour de Maurice figurait un « tally stick ».
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La Nouvelle-Zélande évoque pour moi les paysages vus dans le Seigneur des Anneaux et surtout dans la Leçon de piano. Grandeur, verdure, rochers, pluie.
Une famille arrivée tout droit de Grande-Bretagne prend le temps de visiter le pays avant de s'y installer pour plusieurs années.
Une route rendue dangereuse par les pluies violentes et incessantes met un terme à ce futur engageant. La voiture disparaît dans le bush et ne sera jamais retrouvée. Bilan : trois morts, les parents et le bébé, et trois survivants, Maurice, Kate et Tommy. Après quelques jours passés à attendre les secours, un homme surgit de nulle part. Peters, au lieu de les conduire vers les secours, les embarque avec lui vers un lieu isolé habité par une femme sans âge, Martha. Qui sont ces deux personnages ? Pourquoi vivent-ils loin de tout ? Pourquoi refusent-ils de reconduire les enfants vers la civilisation ? Si Kate s'adapte très vite à cette vie et au travail qu'il lui est imposé, son frère Maurice, n'a qu'une idée fixe, fuir, mais fuir n'est pas si simple.
Pendant que le temps passe, on suit les tentatives de leur tante pour essayer de les retrouver, morts ou vifs (elle est persuadée qu'au moins l'un d'eux a survécu).
Ce qui m'a frappée est le manque d'empathie des personnages, à part la tante anglaise.
Les trois enfants semblent accueillir la mort de leurs parents et de leur petite soeur avec beaucoup de froideur, voire d'inhumanité. le petit frère, Tommy, traumatisé à vie par cet accident, à la fois mentalement et physiquement, est laissé livré à lui même, tel un animal. Seule Kate semble un peu s'en soucier, de temps en temps. Les deux adultes ne sont pas mieux niveau empathie, quasiment au niveau de certaines villes des Pays-Bas, plus basses que le niveau de la mer.
L'écriture elle-même est très froide, très sombre.
Beaucoup de questions restent sans réponse.

Ce fut pour moi une lecture frustrante, limite dérangeante du fait du style glacé.
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Je viens de terminer Une falaise au bout du monde de Carl NIXON. C'est un relais dans un challenge qui m'a fait découvrir ce roman d'un écrivain néo-zélandais. Je pense que c'est la première fois que je lis un auteur de ce coin du monde !
1978 une famille entière disparait à peine arrivée en Nouvelle Zélande. 2010 on retrouve le cadavre d'un des enfants qui aurait survécu plusieurs années. L'auteur nous fait alterner les deux époques, la tension, le drame et l'espoir montent au fur et à mesure. On est tenus en haleine jusqu'à la fin que je ne voudrais pas divulgâcher. Un très bon roman noir à suspense !
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Une famille anglaise, les parents et leurs 4 enfants, en vacances en Nouvelle-Zélande avant que le père ne prenne un nouveau travail. Mais au cours d'une nuit, leur voiture quitte la route et la famille disparait aux yeux du monde.
Seuls les 3 plus grands des enfants réussiront à s'extirper de la voiture.
Le reste de l'intrigue se déroule dans le bush à la nature exubérante et quelque peu effrayante.
Le récit nous tient en haleine avec des rebondissements qui surprennent et mènent le suspens jusqu'au bout de la dernière page.
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