>
Critique de AGamarra
«C'est alors qu'il l'aimait! Pourquoi ne l'aimait-il pas pour ce qui était vraiment mystérieux chez elle, pour ses yeux aux multiples couches de regards, pour ses cheveux chauds comme des veines, ses cheveux noirs et âcres, qu'ils avaient l'odeur de la forêt sèche et de la fumée; car son âme en somme, au fond de laquelle, sous les flots emmêlés, circulait la pierre blanche infantile du désir ...
Anna de Noailles est une écrivaine française d'origine roumaine du début du XXe siècle, célèbre à son époque, qui était liée à des écrivains célèbres de l'époque tels que Proust, Gide, Collette, Cocteau, Etc et qui a également obtenu des distinctions importantes dans sa carrière. .
J'ai beaucoup aimé ce roman dans lequel je pensais lui donner 5 étoiles au début mais en parcourant le dernier tiers, j'ai vu des choses qui m'ont fait baisser la note. Il a, il est très clair, une ressemblance avec «Madame Bovary» de Flaubert.
Le roman traite de l'histoire de Sabine, qui depuis le début nous semble être une femme assez mécontente de la vie conjugale qu'elle mène, cependant ce n'est pas un ennui terrible, ce n'est pas de la haine qu'elle a pour son mari, peut-être un peu difficile de bien comprendre ce qui la fait entamer une série de divagations dans sa vie personnelle et jusqu'au bout même son attitude peut être un peu incompréhensible. Elle est accompagnée de son mari Henri de Fontenay, de sa belle-soeur Marie de Fontenay et des amis d'Henri Jérome Hérelle et Pierre Valence. Malgré tout, elle a beaucoup de contradictions, elle a des flirts pour les autres hommes mais elle ne le confesse pas ouvertement, elle préfère au moins à son mari pour avoir toujours une image correcte, cependant, parfois son propre être hurle des pensées assez libérées:
"Ils n'aiment pas assez, ceux pour qui il ne suffit pas d'aimer peu de temps"
Bien qu'elle ne devienne pas une femme libérée comme par exemple Léa de "Chéri", il faut chercher l'origine peut-être dans le mariage de Sabine avec Henri, un peu précipité car elle a subi une déception de la part de son père M. de Rozée qui, étant veuf, a épousé une nouvelle jeune femme, c'est pourquoi Sabine a décidé de s'éloigner. Ceci est considéré comme un souvenir de jeunesse et regorge de descriptions sentimentales et de souvenirs de paysages qui étaient tout à fait à mon goût.
Sabine est elle-même entourée de bonnes personnes, mais elle est toujours insatisfaite, on peut dire qu'elle est jalouse des autres, et garçon, ça peut être quelque chose de très vrai en société. Quand elle regarde d'autres jeunes femmes ou couples, elle se demande pourquoi ces choses ne sont pas pour elle, elle a des sentiments sombres en elle-même, elle les avoue comme une faiblesse mais parfois elle se sent fière d'elles, c'est quelque chose d'un peu complexe que je n'ai pas. vu comme ceci:
"Un jour, je serai comme des hommes qui n'ont pas besoin d'être beaux pour être aimés. Et quel regard de fille de seize ans vaudra mon coeur brisé, mes yeux de douleur et de colère."
Dans ce parcours du protagoniste j'ai beaucoup aimé le contexte historique, même s'il n'était pas si bien approfondi, on parle d'Henri qui grimpe dans la carrière politique mais ne se parle que de manière circonstancielle, on ne sait pas vraiment ce qu'il fait ni ses progrès . Ce que j'ai le plus aimé, c'est la plume de l'auteur, elle contient de très bonnes phrases et elle introduit également de nombreuses choses littéraires dans le roman, à la fois chez les auteurs et dans les phrases et même les oeuvres, cela rend la lecture assez productive et certainement une meilleure gestion du écrivain de divers sujets.
La protagoniste elle-même au début m'a beaucoup plu mais ensuite comme je l'ai mentionné elle tombe un peu dans la répétition et la monotonie, ses attitudes assez enfantines malgré tout révèlent qu'elle a toujours été attachée du début à la fin à la recherche de sensations.
"Tu n'es pas ce que j'aime; j'aime aimer comme je t'aime. Je ne compte pas du tout sur toi, dans la vie, ma bien-aimée. J'attends mon amour pour toi seulement de toi ..."
Anna de Noailles est une écrivaine française d'origine roumaine du début du XXe siècle, célèbre à son époque, qui était liée à des écrivains célèbres de l'époque tels que Proust, Gide, Collette, Cocteau, Etc et qui a également obtenu des distinctions importantes dans sa carrière. .
J'ai beaucoup aimé ce roman dans lequel je pensais lui donner 5 étoiles au début mais en parcourant le dernier tiers, j'ai vu des choses qui m'ont fait baisser la note. Il a, il est très clair, une ressemblance avec «Madame Bovary» de Flaubert.
Le roman traite de l'histoire de Sabine, qui depuis le début nous semble être une femme assez mécontente de la vie conjugale qu'elle mène, cependant ce n'est pas un ennui terrible, ce n'est pas de la haine qu'elle a pour son mari, peut-être un peu difficile de bien comprendre ce qui la fait entamer une série de divagations dans sa vie personnelle et jusqu'au bout même son attitude peut être un peu incompréhensible. Elle est accompagnée de son mari Henri de Fontenay, de sa belle-soeur Marie de Fontenay et des amis d'Henri Jérome Hérelle et Pierre Valence. Malgré tout, elle a beaucoup de contradictions, elle a des flirts pour les autres hommes mais elle ne le confesse pas ouvertement, elle préfère au moins à son mari pour avoir toujours une image correcte, cependant, parfois son propre être hurle des pensées assez libérées:
"Ils n'aiment pas assez, ceux pour qui il ne suffit pas d'aimer peu de temps"
Bien qu'elle ne devienne pas une femme libérée comme par exemple Léa de "Chéri", il faut chercher l'origine peut-être dans le mariage de Sabine avec Henri, un peu précipité car elle a subi une déception de la part de son père M. de Rozée qui, étant veuf, a épousé une nouvelle jeune femme, c'est pourquoi Sabine a décidé de s'éloigner. Ceci est considéré comme un souvenir de jeunesse et regorge de descriptions sentimentales et de souvenirs de paysages qui étaient tout à fait à mon goût.
Sabine est elle-même entourée de bonnes personnes, mais elle est toujours insatisfaite, on peut dire qu'elle est jalouse des autres, et garçon, ça peut être quelque chose de très vrai en société. Quand elle regarde d'autres jeunes femmes ou couples, elle se demande pourquoi ces choses ne sont pas pour elle, elle a des sentiments sombres en elle-même, elle les avoue comme une faiblesse mais parfois elle se sent fière d'elles, c'est quelque chose d'un peu complexe que je n'ai pas. vu comme ceci:
"Un jour, je serai comme des hommes qui n'ont pas besoin d'être beaux pour être aimés. Et quel regard de fille de seize ans vaudra mon coeur brisé, mes yeux de douleur et de colère."
Dans ce parcours du protagoniste j'ai beaucoup aimé le contexte historique, même s'il n'était pas si bien approfondi, on parle d'Henri qui grimpe dans la carrière politique mais ne se parle que de manière circonstancielle, on ne sait pas vraiment ce qu'il fait ni ses progrès . Ce que j'ai le plus aimé, c'est la plume de l'auteur, elle contient de très bonnes phrases et elle introduit également de nombreuses choses littéraires dans le roman, à la fois chez les auteurs et dans les phrases et même les oeuvres, cela rend la lecture assez productive et certainement une meilleure gestion du écrivain de divers sujets.
La protagoniste elle-même au début m'a beaucoup plu mais ensuite comme je l'ai mentionné elle tombe un peu dans la répétition et la monotonie, ses attitudes assez enfantines malgré tout révèlent qu'elle a toujours été attachée du début à la fin à la recherche de sensations.
"Tu n'es pas ce que j'aime; j'aime aimer comme je t'aime. Je ne compte pas du tout sur toi, dans la vie, ma bien-aimée. J'attends mon amour pour toi seulement de toi ..."
Acheter ce livre sur
