Il s'agit du deuxième roman d'
Amélie Nothomb que j'ai lu et je dois avouer qu'il se lit rapidement comme
les combustibles. Un style simple, fluide et rapide.
J'ai aimé l'histoire car on sent une grosse dose de culpabilité de la part du protagoniste, une culpabilité si forte que sa conscience finit par prendre vie. C'est assez intéressant car on dirait un type de schizophrénie si bien que je me suis demandé quand allait-il cesser de se soumettre à cette voix.
On s'y perd parfois un peu dans les méandres de cette torture, de ce psychisme, mais on y ressort. Et puis, il y a l'acte final. On y sort LIBRE !
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