Pour ne pas mourir trop bête j'ai fini par lire
Amélie Nothomb, que les medias passent pour l'incontournable des rentrées littéraires.
Et ben maintenant je sais. de la merde en tube, aucun style, des personnages sans épaisseurs, une histoire qui tient en dix lignes et qu'elle ne cesse d'étirer pour que ça fasse un livre entier.
Le titre ? épicène, juste pour faire vendre. Aucune exploitation du "filon" dans ce (très petit) bouquin.
Une insulte à la littérature...
Ce bouquin doit être utilisé en tant que somnifère, ou de cale pour armoire normande.
Je laisse conclure
Eric Naulleau : "L'auteur, on le sait, met son point d'honneur à sortir un nouvel opus chaque année au mois d'août. Lorsque paraît Amélie, l'été expire, et la littérature avec."
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