Un livre de vacances, des vacances de printemps bienvenues et éclatantes de soleil, de nature et de couleurs. le soir, je retrouvais ce petit livre de
Yoko Ogawa découverte avec
Les tendres plaintes et
La mer.
La bénédiction inattendue s'attache à l'inspiration littéraire. Les nouvelles qui composent ce recueil semblent concerner une écrivaine à différents moments de sa vie et de son parcours littéraire. Je n'ai pas consulté la biographie de l'auteur pour savoir si oui ou non il s'agit d'une expérience vécue aux puissants accents d'imaginaire. Comme dans les autres écrits de
Yoko Ogawa, la poésie est au rendez-vous, le mystère également...
Hélas, pour moi, la rencontre tombe un peu à l'eau. J'ai du rester sur
Les tendres plaintes et je demeure un brin déçue. L'ordre aléatoire des nouvelles ne permet pas d'adhérer à une histoire suivie : le nom du chien ne change pas, l'enfant conserve la peluche escargot du début à la fin, l'écrivaine aime un chef d'orchestre et on comprend que la perte précoce de son frère a beaucoup marqué la jeune femme.
Nouvelles ou roman on hésite finalement. Assurément un bon bouquin de vacances, mais pas le meilleur de l'auteur. Si j'avais débuté par celui-ci, pas sûr que j'aurais lu
Les tendres plaintes et sut été dommage.
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